Même avec de sérieux repères en la matière et quelques pages fétiches qui nous indiquent la voie à suivre, il n'est pas facile de retrouver toute l'information nécessaire au même endroit pour respecter les bonnes tailles d'images des réseaux sociaux. Et comme nous en avions besoin pour bien commencer 2022, nous avons pensé que cela pourrait peut-être vous intéresser aussi 😉
Petit aperçu des tailles d'images des réseaux sociaux en 2022, avec les liens de chaque source pour faciliter le suivi et l'actualisation des données.
Avec la disparition des Fleets, la montée en puissance des Instagram Reels (qui ont changé de nom), Byte... Et l'avènement de TikTok, il nous fallait un endroit pour centraliser toutes les bonnes informations et les mettre à jour pour profiter à plein des différents réseaux sociaux. Autant que cela soit sur le blog, en public, pour que chacun en profite ! Les tailles d'images mais aussi de vidéos pour les principaux réseaux sociaux sont compilées.
[lwptoc]
Twitter a mis fin à ses Fleets. Mais pour le reste, comment optimiser ses visuels ?
Taille d'image : 400 x 400 px.
Taille d'image de couverture : 1500 x 500 px
Format préféré : 1024 x 512 px
Ratio 1:1 (carré) recommandé même si le 2:1 reste accepté par Twitter.
Source :: Twitter Business , directement du producteur au consommateur.
Video : 1080×1920px, MP4 valable, durée maximale de 2mn20sec.
Image : 1080×1920px également, en JPEG (JPG) ou PNG.
Source : socialsizes
Ici, on raisonne davantage en termes de ratios mais voici ce qu'en dit Twitter :
"Desktop: chaque ratio entre 2:1 et 1:1 est acceptable. Par exemple, 1200 X 600 (2:1), 1200 X 800 (3:2) ou 1200 X 1200 (1:1). Au-delà de 16:9 (1200 X 1400 par exemple) le ratio sera ramené à 16:9.
Mobile: 16:9 également.
Taille d'image : 800 x 418 pixels (ratio 1.91:1), 800 x 800 pixels pour un ratio 1:1 (carré).
20mb maximum par image.
Chaque ratio entre 2:1 et 1:1 est acceptable. Par exemple, 1200 X 600 (2:1), 1200 X 800 (3:2) ou 1200 X 1200 (1:1).
Max 5MB pour chaque gif.
Malgré un coup de moins bien et quelques ralentissements d'audience, Facebook reste le grand réseau social par excellence et demeure presque incontournable dans une stratégie de publication grand public. Encore faut-il savoir tirer profit de ses exigences en termes de formats...
170 x 170, soit un format 1:1 mais ATTENTION, les photos de profil s'affichent désormais en forme de rond et non plus de carré.
Source : louisem.com.
820 x 312 px (s'affichera en 640 x 312 px sur mobile).
Taille d’image recommandée : 1200 x 628 pixels.
Source : Facebook.
Source : Facebook.
Choisissez des photos ou des vidéos d’une résolution de 1200x628 pixels (ratio d’environ 2:1)
Source : Facebook.
Lire l'article
LinkedIn reste très exigeant en matière de disposition des images... Et notamment des miniatures de liens. Dès lors qu'on a la bonne formule, tout se passe beaucoup mieux pour poster sur le principal réseau social professionnel !
400x400px (ratio 1:1, carré).
1128x191px.
1200x627px.
Donnée tenue à jour selon ce lien LinkedIn.
1040x630, bien que d'autres formats comme 1200x627px (format des minitures de liens), 1040x640px ou un format carré semblent valides à l'usage.
Instagram, c'est l'image avant tout... ce qui explique aussi pourquoi le réseau social visuel par excellence reste un peu plus tolérant sur les formats à utiliser. Encore faut-il respecter quelques règles d'usage 🤳🖼
110x110 px. Le format étant carré, la taille "Facebook" 170x170 px s'applique également.
1080x1350 px
Instagram accepte de varier de 1080x566 (paysage) à 1080x1350 (portrait).
Source :Instagram
170x170 (ratio 1:1, carré)
Source : Falcon Social.
1080 x 1920 pixels.
1200x628px
Meilleure source trouvée : Power Reviews.
Même si 2020 n'a pas été son meilleur cru, Snapchat n'a pas cessé de nous surprendre et n'a jamais arrêté de se réinventer, jusqu'à repartir à l'assaut de TikTok. Là encore, des règles d'usage sont de mise, notamment pour optimiser ses publicités Snapchat.
1080 x 1920px (ratio 9:16)
Logo : 993x284px en png pour gérer la transparence
Image : 360x600px
Source
Tout le monde en a parlé cette année... On ne présente plus TikTok, devenu site le plus visité devant Google en 2021. En revanche, on va continuer à présenter les bons formats d'images et de vidéos pour ne pas risquer des tailles un peu trop sévères dans les contenus 😉
170x170 px.
1080 x 1920px.
Meilleure source identifiée : Sharelov.com
1200x628 px (ou inférieur).
Source : TikTok Ads
Oui mesdames messieurs, on a déjà parlé de Byte et de son succès foudroyant, on vous en reparle ici pour avoir les bonnes tailles.
1110x154px.
590 x 154 px
Ces quelques informations proviennent de la communauté Byte. Toutefois, d'autres membres travaillent à rendre ces informations de formats plus lisibles. A suivre !
Idem, la communauté penche plutôt pour le format carré (1:1) mais les recommandations restent encore très vagues, Byte restant très libre pour le moment.
Bien sûr, nous aurons certainement de quoi ajouter d'autres informations au fur et à mesure des évolutions (Triller etc.). Si une information qui vous semble capitale manque à cette liste, n'hésitez pas à nous en faire part !
La relation client en ligne et, plus largement, le community management conversationnel sur les différentes plateformes, c'est avant tout une question de communication. Et d'organisation, bien sûr, pour répondre avec les bons éléments au bon moment. Mais une fois ce décor posé, il n'est pas toujours facile de mobiliser les bonnes pratiques, tirer de véritables enseignements de ces conversations en ligne et bien faire progresser ses services, qu'ils soient commercial, marketing ou communication (ou digital sur les réseaux sociaux et avis en ligne. En clair, même les rois de la FAQ ont besoin... D'une FAQ de la relation client, que nous vous proposons aussi efficacement que possible ici pour répondre à vos questions... Et à vos communautés 😉
Comment construire une relation client qui vous ressemble ?
Comment suivre la satisfaction de vos clients qui s'expriment en ligne ?
Quels enseignements tirer des échanges avec vos clients ?
Où et quand être présent pour vos clients ?
Comment mutualiser les efforts de vos services sur les réseaux sociaux ?
Comment prolonger cette FAQ de la relation client en ligne ?
On connaît tous le poids des avis en ligne dans l'acte d'achat (n'est-ce pas ?) 💬
La relation client en ligne va au-delà du SAV (Service Après-Vente) : c'est une composante importante de votre e-réputation. 96 % des internautes sont ainsi influencés par l’e-réputation de la marque ou de l’entreprise lors d’un achat. Il faut donc que ces interactions donnent à voir le meilleur de votre enseigne.
Quelques points à respecter :
📍 Être en capacité technique et humaine de traiter tous les messages ;
📍 Mettre en place une FAQ et un arbre de décision pour structurer la relation client ;
📍 Personnaliser les interactions ;
📍 Aller au devant des besoins et des attentes pour tisser un lien particulier ;
📍 Faire preuve de répartie, d'esprit... Et d'empathie !
C'est bien pour cela que nous avons développé Lokus, notre plateforme de gestion et de valorisation des conversations en ligne. Robuste, adaptée, elle permet de tirer toute la richesse des avis, commentaires et contenus déposés par vos communautés.
C'est peu de le dire : les commentaires et avis que publient vos clients sont une précieuse source d'information.
Pour les écouter, les analyser mais aussi agir et interagir efficacement derrière, encore faut-il bien les appréhender !
Parmi les incontournables :
📍 Bien centraliser tous les avis laissés sur vos espaces sociaux, pour assurer la modération et la relation client ;
📍 Se munir d'un dispositif de veille, avec une équipe performante, pour repérer les commentaires et avis laissés sur des espaces tiers et intervenir en conséquence ;
📍 S'assurer d'un conseil fiable qui, à partir des données recueillies ci-dessus, va pouvoir restituer les informations-clés pour améliorer l'offre de service et le CRM / GRC.
La relation client en ligne, c'est aussi une formidable source d'informations-clés 🗃️
En plus de soigner votre SAV/CRM, l'intervention d'une équipe rompue à la détection de ces informations vous permettra de révéler toute la valeur de ces conversations 🏺
Au fil des avis, des questions, des commentaires et des réponses de vos clients et prospects se dessinent :
📍 Des tendances d'évolution des attentes consommateurs ;
📍 Des retours d'expérience ;
📍 Des personae en constante évolution ;
📍 Des idées neuves, en prise avec des besoins concrets ;
📍 Des informations sur votre secteur et vos concurrents ;
📍 Une image précise de vos forces et faiblesses en e-réputation.
C'est une question parmi les plus importantes... Et les plus stratégiques.
Ca n'a échappé à personne, Internet ne ferme jamais (même si Facebook prend parfois des pauses de 6 heures). Vos clients, eux, peuvent donc vous solliciter à tout moment.
Mais faut-il pour autant leur répondre en continu ?
Même s'il faut prendre en compte votre secteur d'activité, les internautes ne conçoivent plus de rencontrer les mêmes limites horaires sur le web social que devant un guichet physique.
Cela demande un peu d'adaptation pour :
📍 Etre présent 7/7J, aux heures principales d'activité de vos internautes. Ne serait-ce que pour accuser réception ;
📍 Répondre en public et en privé sur les réseaux sociaux sur lesquels vous communiquez ;
📍 Identifier rapidement ceux sur lesquels vous n'êtes pas présent... Mais vos clients, si. Et pour y parler de vous.
Une marque comme Le Creuset aurait-elle pu manquer la déferlante TikTok ?
Rester à l'écoute de vos clients, soigner votre SAV et votre e-réputation : c'est tout l'enjeu de la relation client en ligne.
🥽 Mettons-nous en situation... Et regardons les conversations en ligne avec les yeux du commercial, du responsable marketing et du directeur de la communication.
N'avez-vous pas constaté un manque de porosité entre différents services voulant chacun récupérer un maximum d'informations-clés (insights) sans mutualiser ces recherches ?
Avec un bon community management conversationnel, soutenu par une modération de qualité, on peut faire émerger :
📍 Toutes les tendances ;
📍 Toutes les données précieuses de la relation client ;
📍 Tous les micro-ambassadeurs et influenceurs potentiels ;
📍 Toutes les personae ;
📍 Toutes les données d'UX, suggestions d'amélioration et anticipations du marché ;
📍 Tous les élements de langage des communautés et sujets de prédilection.
De quoi faciliter aussi bien la tenue du planning éditorial que l'amélioration de l'expérience client... Ou la prospection ! Sans oublier d'assurer votre Service Après-Vente bien entendu.
C'est aussi ça, un CM de qualité !
Vous souhaitez en savoir davantage sur nos solutions ? Contactez-nous également pour prolonger la discussion 😉
Vous avez encore quelques questions restées sans réponse ? N'hésitez pas à nous les partager en commentaire, nous les ajouterons au contenu.
Que pèse l'empire Facebook dans l'écosystème du web social ? Après quelques heures de panne de Facebook, Instagram et Whatsapp, on en a désormais une vague réponse : environ un milliard de dollars par heure. S'il s'agit d'une simplification, on mesure tout de même l'ampleur pour le groupe lui-même... Et au-delà, on ne peut qu'imaginer l'onde de choc que cela représente pour de nombreux acteurs du numérique / digital et des médias sociaux plus particulièrement... Dont nous faisons partie.
Au niveau mondial, comment une telle panne de Facebook, Whatsapp et Instagram touche-t-elle des acteurs économiques, et dans quels secteurs ? Pour une société de modération, de veille numérique, de conseil en présence en ligne et de relation client digitale comme la nôtre, il est bien évident que la fermeture de ces robinets d'information empêche une bonne partie de l'activité de se dérouler normalement.
Bien sûr, et heureusement, Twitter a tenu bon ! Le réseau, adepte des Fail Whales régulières dans ses jeunes années, connaît une véritable stabilité qui lui confère un statut de refuge du web social, à des moments ou la maison digitale chancèle.
hello literally everyone
— Twitter (@Twitter) October 4, 2021
Même si, concrètement, Twitter n'est pas passé loin de la catastrophe non plus. Bref, revenons à notre sujet.
C'est une évidence, non ? Le commerce en ligne, la relation client digitale... Sont des activités qui ont besoin du web social pour prospérer. Bien sûr, TikTok s'est démocratisé et a pris une place de premier ordre ; Twitter est bel et bien là ; Snapchat n'a pas dit son dernier mot et Youtube, comme Twitch, possèdent une dimension vidéo propre qui, avec des formats plus longs, restent incontournables.
Et pourtant, Facebook et ses composants que sont Instagram et Whatsapp demeurent centraux... Et plus fortement encore dans certaines régions du monde, où Whatsapp a très tôt servi à éviter de coûteux frais de SMS ou de téléphone.
If you think WhatsApp, Instagram and Facebook being down is no big deal.
You are definitely not running a small business in an emerging market.#WhatsApp #facebookdown pic.twitter.com/Lw08kZov3a
— Ughelli Vibes (@Ughellivibes) October 4, 2021
De notre côté, par exemple, des marques comme Bjorg ou Carrefour et des institutions comme la CNAM nous ont confié leur relation client en ligne, la modération et la gestion de leurs interactions. Si nos activités cessent purement et simplement sur ces espaces durant quelques heures, la diversification des espaces nous oblige à rester présents par ailleurs. En revanche, quel impact cela a-t-il sur des entreprises dont la présence en ligne entière repose sur les espaces de Facebook ?
Les influenceurs Instagram en savent quelque chose : 💬 un seul réseau vous manque et tout est dépeuplé.
📱 Un grain de sable dans la machine et c'est la catastrophe : «Mon métier se trouve dans mon téléphone. Si je ne peux plus avoir accès à mon compte Instagram, j’ai l’impression d’être dépossédée.» #instagramdown #facebookdownhttps://t.co/J6Cl6mSGPm
— Libération (@libe) October 6, 2021
Et clairement, l'activité de bon nombre de comptes influents repose sur un seul réseau : Instagram pour les influenceurs, bien sûr, mais aussi Twitch pour les streameurs qui, privés de cette source de revenus, ne monétisent pas leurs tweets ou autres canaux à l'exception, pour certains, de Youtube. Alors que la toute récente grève sur Twitch a montré la fragilité de l'édifice, comment bien assurer sa présence en ligne en tant que marque sans risquer de se retrouver en situation de dépendance à un seul réseau ?
La réponse est dans la question : la diversification des canaux reste la clé.
Qu'il s'agisse de segmenter ses audiences (communication institutionnelle / grand public, panachage par tranche d'âge...), de permettre à divers types de contenus de trouver leur place ou de s'assurer un minimum d'indépendance face à un réseau, toute marque devrait diversifier ses canaux d'intervention.
Du site web aux réseaux sociaux, personne n'est à l'abri d'une attaque, d'une panne, d'une pollution par des audiences non négligeables... Qui peuvent vite compliquer les choses. bien sûr, la pollution reste un faux problème si l'on bénéficie d'une modération efficace ; toutefois, comme on l'a vu, rien ne permet d'affirmer que Whatsapp, Instagram ou Facebook ne seront encore là demain. Et en cas de disparition, comment combler le manque ?
Imaginez une marque qui aurait tout misé sur les stories Twitter ou LinkedIn... Alors qu'elle viennent de disparaître. Pas crédible ?
Très bien : imaginons maintenant une marque qui aurait tout misé sur IGTV... Pour l'instant, il y a peu de chances que cela arrive (au contraire) mais si un réseau venait à s'imposer clairement sur ce secteur, la fonction pourrait tout aussi bien décliner, avant de disparaître.
Ces obsolescences de fonctionnalités, dictées par les coûts de maintenance et la rentabilité, restent monnaie courante dans le monde des réseaux sociaux. RIP les fleets ou, bien avant, le précurseur MSN Messenger...
En clair, en plus de son propre site, qui peut permettre notamment d'héberger de si précieux avis en ligne, disposer de plusieurs réseaux sociaux... Et pas uniquement dans la galaxie Facebook, reste le meilleur moyen de bénéficier, en continu, d'options de communication et de webmarketing variées. Cela prend nécessairement plus de temps mais, avec le bon accompagnement, la valorisation des conversations en ligne et des retours de vos communautés n'en seront que plus payants 😉
S'il y a bien une notion qui compte pour prétendre à une modération de qualité, c'est l'expertise. Celles des modérateurs bien entendu mais, plus globalement, celle d'une équipe qui sait s'appuyer sur les bonnes pratiques et les bons outils pour entretenir au mieux les conversations en ligne. Car il ne suffit pas de saupoudrer de technologie un espace pour prétendre assurer la modération : entre respect de la liberté d'expression et respect de la charte de modération, tout est question de dosage... Et d'expérience. Suivez le guide !
"Science sans conscience n'est que ruine de l'âme". Il en va de même pour des algorithmes aveugles ou des filtres mal maîtrisés. Alors que les outils, entre de bonnes mains, peuvent faire des miracles, on pourrait difficilement concevoir que la liberté d'expression soit entièrement confiée à une machine, sans quoi le risque de censure ou de faille deviendrait trop important. C'est, d'ailleurs, la mésaventure que connaît Facebook, entre autres, face aux enjeux de modération, dès qu'un algorithme est modifié.
Alors, comment trouver le bon dosage ? Revenons en quelques points sur les fondamentaux.
Comme vous le savez, certains réseaux sociaux disposent de filtres automatiques intégrés. A l'image de Facebook, qui met à disposition une liste de termes à bloquer, les champs lexicaux et sémantiques donnent un premier niveau d'intervention.
A une échelle professionnelle, ces filtres peuvent contenir davantage de nuance. On retrouve notamment une granularité plus fine dans la modération sur Twitch ou dans quelques solutions du marché. Mais concrètement, aussi belle soit la promesse, la solution 100% automatique ne peut s'avérer 100% satisfaisante.
En effet, comment permettre à une machine de détecter l'ambiguité dans un message tout en lui laissant la capacité de décider de son sort derrière ? Voici pourquoi, chez Atchik, tout notre travail de développement a conduit à une solution de modération boostée à l'intelligence artificielle... Et aux retours humains.
Plutôt que de substituer l'outil à l'homme, considérons la modération automatique pour ce qu'elle est : un outil.
Au minimum, il est donc possible de :
Nous proposons ce type de formule. Simple, fluide, léger, le système permet de protéger un espace efficacement... Sans risquer de passer à côté d'un élément très sensible tel qu'une menace envers une personne, des propos suicidaires ou toute autre revendication critique.
Toutefois, l'intérêt de la modération de contenu reste, au-delà du filtrage pur et simple, de pouvoir intervenir efficacement dans les conversations, d'engager les bonnes actions et de dégager toute la valeur des interactions. Et c'est là que se rejoignent, précisément, l'expérience d'une équipe et la performance des outils à disposition.
A l'image du système d'alerte évoqué plus haut, la modération automatique doit de toute façon s'appuyer sur une relecture humaine, ne serait-ce que pour les cas les plus graves. C'est, ici, un minimum.
Mais qu'en est-il de la richesse des conversations ? Comment dégager des informations-clés des espaces de commentaires pour améliorer la relation client, les offres ou la communication ? Comment interagir au mieux avec les communautés ?
C'est là que l'automatisation doit servir, avant tout, d'aiguillage. Et que la modération mixte apporte le meilleur de toutes les solutions.
En pensant notre outil de modération comme un système d'aiguillage, nous permettons à nos équipes de :
En clair, il en va de la modération et, plus globalement, de la gestion des conversations en ligne comme du reste : avec les bons outils, on peut réellement laisser le savoir-faire s'exprimer. Et, en l'occurrence, révéler toute la richesse des contenus de vos espaces.
Cependant, dans la configuration actuelle du web social, les outils ne parviennent pas, aussi bons soient-ils, à couvrir la totalité des espaces à modérer ou sur lesquels interagir... C'est là que le savoir-faire de la modération manuelle reste indispensable !
Quoi ? Nous sommes en 2021 et les outils ne sont pas capables d'aller partout ?
Plus exactement, les outils ne sont pas autorisés à aller partout. Si certains réseaux sociaux sont bien balisés, à l'instar de Facebook, Instagram, Twitter ou LinkedIn, d'autres restent plus difficile à appréhender depuis un outil externe.
Prenons le cas de TikTok : difficile de proposer une intégration à un outil de modération alors même que le réseau ne dispose pas d'API... Il convient donc de modérer en natif, directement sur la plateforme. D'ailleurs, l'appli star de ByteDance a bien saisi les enjeux de cette modération puisque, comme on vous le disait récemment, TikTok a rendu possible la modération par paquets... Afin de faciliter le travail des modérateurs sur TikTok.
Idem pour la modération des groupes Facebook : l'architecture rend l'automatisation difficile... Et pour le coup, compte-tenu de la particularité de ces espaces, c'est probablement une bonne nouvelle !
Enfin, si l'on cherche à vous vendre une modération automatique coûteuse sur Twitch, sachez que pour l'heure, l'interface offerte en natif reste bien plus intéressante (y compris pour installer des filtres automatiques) et... Gratuite. Autant faire appel à de vrais modérateurs pour ajuster ces filtres et animer les échanges, non ?
Et quoi qu'il arrive, quelle que soit votre problématique de gestion des commentaires et avis en ligne, quel que soit votre volume de conversations à traiter, animer ou analyser... Le mieux reste de nous contacter 📳😉
Qu'on le veuille ou non, LinkedIn est devenu incontournable. Ce "cher réseau" a pris une place de premier plan dans bon nombre de vies professionnelles, de la phase de recrutement à la prospection commerciale en passant par la distillation d'annonces stratégiques d'entreprises. Et loin des posts parfois éventés ou (très) consensuels, une multitude d'informations de valeur se révèle dans les publications de profils ou de pages... Mais aussi dans les commentaires. Or, comment en tirer parti alors qu'aucun outil, aujourd'hui, ne permet efficacement de le faire ? On vous partage quelques pistes.
LinkedIn, ses posts d'appel à l'aide, ses histoires plus ou moins vraies à la moralité relative... Mais aussi ses actualités de pointe, ses prises de position novatrices, ses informations stratégiques : toute la richesse du réseau se retrouve dans ces diverses couches, reliées par le fil bien identifié de la posture professionnelle.
Exploiter ces données pour affiner son ciblage, accélérer son activité commerciale ou renforcer son e-réputation font partie du quotidien, en BtoB notamment. Et pourtant, aucun grand outil de veille des réseaux sociaux n'intègre réellement cette plateforme. LinkedIn passe ainsi totalement à travers les mailles du social listening. Pourquoi ? Et comment s'organiser en conséquence ?
Comme sur Facebook ou tout autre réseau de manière historique, la première démarche de veille consiste, pour recevoir les contenus, à s'abonner. Cela peut être à une page, un profil, un groupe ou un mot-dièse... Mais à la longue, le contenu sélectionné permettra de récupérer les informations pertinentes. A condition, toutefois, de filtrer par "récent" plutôt que par "pertinence", pour contourner le biais de l'algorithme et vous laisser le loisir de trier vous-mêmes 😉
Même si une recherche récurrente va vous pousser à garder dans un coin vos requêtes, le moteur de recherche de LinkedIn permet tout de même de trouver du contenu, des liens, des profils... Selon vos besoins. Les requêtes boléennes vont ici se révéler très précieuses pour aller à l'essentiel dans votre veille sur LinkedIn.
Il va sans dire qu'un chargé de veille rompu à ces recherches ira certainement plus vite et plus loin mais avec les bons filtrages et les bons classements, on peut rapidement trouver satisfaction. Nous vous recommandons, toutefois, de faire appel à une équipe de spécialistes pour affiner les requêtes puis agréger, interpréter et restituer ces données. Et cela vaut pour une veille stratégique, avec écoute du secteur, comme pour une veille e-réputation. Car oui, LinkedIn pèse désormais énormément tant dans la prospective et l'intelligence économique que dans la veille e-réputation, tous secteurs confondus.
Peut-être l'aviez-vous oublié... Mais LinkedIn offre son propre système de marque-pages :
D'autres systèmes de conservation des informations existent, du marque-page du navigateur à Evernote ou Pocket en passant par Google Docs ou tout autre lieu pour garder des URL.
Bon, bien sûr, ce n'est pas exactement cela qui vous permettra de dégager des statistiques ou une analyse fine de l'ensemble mais c'est déjà précieux... Et pour unifier ces métriques, justement, vous pouvez par exemple opter pour l'intégration de vos contenus LinkedIn dans l'outil de veille Sindup, grâce à l'extension Sindup pour navigateur ! Avis aux utilisateurs 🙂
Impossible, la veille sur LinkedIn ? Non, bien entendu. Commercialisable ? Ça, c'est une autre histoire. Morale ? Là encore, c'est un autre sujet.
Pour résumer, bien que LinkedIn conserve jalousement ses données, exigeant une connexion pour révéler l'intégralité d'un contenu même public sur sa plateforme, différentes manières de récupérer le texte et les divers médias présents sur une url donnée, d'un post à un profil en passant par un fil, existent. Cela s'appelle, en bon français bien sûr, le scraping.
Moyennant quelques lignes de code et un petit développement, on peut rapidement agréger de la donnée de manière artisanale, quitte à avoir un peu de travail de nettoyage après. Quelques outils comme Visualping, petite extension très pratique de surveillance d'évolution du contenu d'une page donnée, peuvent ainsi connaître un léger détournement de leur usage à ces fins.
C'est bien beau tout cela, me direz-vous, mais peut-on vraiment le faire impunément ?
En théorie, tout dépend de l'utilisation des données, le respect du RGPD s'imposant pour ce qui nous concerne. Cela complique un peu la tâche et le cadre juridique, bien entendu. Toutefois, une décision de justice très suivie pourrait changer la donne : aux Etats-Unis, la firme hiQ a remporté deux batailles face à LinkedIn après récupération d'informations publiques sur la plateforme, renvoyant l'affaire jusqu'à la Cour Suprême. Frédéric Martinet (Actulligence) évoquait justement l'information lors du salon i-Expo, à l'occasion d'une conférence commune animée par FLA Consultants.
D'abord, LinkedIn n'étant pas propriétaire des contenus publiés par ses utilisateurs, aucune défense d'intérêts ne saurait s'appliquer en l'état. Mais surtout, la volonté de rendre une information "publique" et "accessible au plus grand nombre" par les utilisateurs implique une visibilité maximale, à l'inverse d'une restriction d'accès.
A la lumière de ces évolutions judiciaires (et juridiques), il se pourrait donc que la veille sur LinkedIn se voie, dans un avenir proche, facilitée par quelques outils ayant pris bonne note d'un jugement validant de telles pratiques. Pour l'heure, les spécialistes de la veille gardent à votre service leur savoir-faire et leurs techniques pour répondre au mieux à vos besoins de veille sur LinkedIn. Mais croyez-nous, tout le monde attend de bénéficier d'une solution technique plus stable, qui permettra de gagner un temps précieux pour l'analyse et la mise en valeur de la richesse des données.
A suivre de très près donc : à vous de paramétrer une veille... Sur la veille LinkedIn !
Modération, veille, community management, analyse et valorisation des conversations en ligne, extension du champ social media... Si ces sujets vous passionnent ou vous concernent directement, il y a fort à parier que vous trouverez de quoi vous contenter dans nos différentes émissions "Conv Call" sur Twitch. Besoin d'un replay ? Retrouvez les rediffusions et les meilleurs moments ici !
Twitch, sans aucun doute, permet de grandes choses. Mais, revers de la médaille, la plateforme ne nous autorise pas encore à garder nos émissions en replay au-delà de 15 jours après la diffusion. Bien sûr, Youtube nous permet de tout conserver mais quelques semaines voire quelques mois après une diffusion, comment tirer le meilleur parti de tous ces échanges, de toutes ces conversations en ligne et de toute la richesse induite par le chat Twitch ?
C'est là qu'un petit récap, que nous mettrons régulièrement à jour, s'impose. En partant du plus récent, retrouvez ci-dessous nos dernières diffusions et les temps forts associés.
💻 Quel rapport entre les réseaux sociaux et les jeux vidéos ?
🕹🎮 Quelles sont les opportunités offertes par ces deux mondes ?
🥽 Pourquoi l'avenir du #marketingdigital passera à coup sûr par la compréhension de ces phénomènes ?
🖥 Comment tirer le meilleur de ces nouvelles possibilités... Et des conversations que cela génère ?
C'était l'objet du stream du 21 juillet 2021 avec, en filigrane, les meilleures options pour intégrer pleinement le jeu vidéo dans une stratégie social media.
Avec :
◼ Robin Ferretti, consultant marketing et stratégie, GosuRabbit (agence spécialisée dans le marketing autour de l'univers du gaming).
◼ Steve Bonet, directeur conseil et communication, Atchik
◼ Valentin Grenier, chef de projet présence en ligne, Atchik
➡ Retrouvez Conv'Call #3 en rediffusion illimitée sur Youtube.
A retrouver sur Twitch :
📺 Le potentiel de Twitch et du marché des JV en quelques chiffres
📺 La modération et la veille en vrais révélateurs de la valeur de Twitch
Devenue incontournable dans le paysage des médias sociaux, l'appli TikTok a-t-elle évolué plus vite que l'image que l'on s'en fait ? Que représente-t-elle vraiment ? Quels sont les enjeux de son usage pour les professionnels du secteur ?
Avec :
◼ Jean-Christophe Gatuingt, co-fondateur de Visibrain (outil de veille des médias sociaux).
◼ Yann Bouvier (Yann Tout Court), prof d'Histoire et Tiktokeur à plusieurs centaines de milliers d'abonnés
◼ Steve Bonet, directeur conseil et communication, Atchik
◼ Valentin Grenier, chef de projet présence en ligne, Atchik
➡ Retrouvez Conv'Call #2 en rediffusion illimitée sur Youtube.
📺 Comment gagner des abonnés sur TikTok ? Les conseils de yanntoutcourt
📺 Modération sur TikTok : de nouvelles fonctionnalités
📺 Quelle place de TikTok dans la réputation des marques ? Exemple avec Le Creuset
📺 JC Gatuingt (Visibrain) sur les différents "axes de viralité" de TikTok
Pour cette première, nous avons échangé nos visions des liens entre la modération, le community management et la partie technique de nos activités.
Avec :
◼ Benjamin Pitorre, CTO, Atchik
◼ Mathieu Ouvrié, développeur full stack et ancien community manager, Atchik
◼ Steve Bonet, directeur conseil et communication, Atchik
◼ Valentin Grenier, chef de projet présence en ligne, Atchik
➡ Retrouvez Conv'Call #2 en rediffusion illimitée sur Youtube.
📺 Les conversations, le "parent pauvre" des stats natives des réseaux sociaux
📺 Comment assurer les besoins de suivi et d'analyse autour des conversations sur les réseaux sociaux ?
Et pour ne rien rater... N'hésitez pas à vous abonner directement à notre chaîne Twitch ainsi qu'à notre Hebdo du web social !
Steve