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La relation client en ligne et, plus largement, le community management conversationnel sur les différentes plateformes, c'est avant tout une question de communication. Et d'organisation, bien sûr, pour répondre avec les bons éléments au bon moment. Mais une fois ce décor posé, il n'est pas toujours facile de mobiliser les bonnes pratiques, tirer de véritables enseignements de ces conversations en ligne et bien faire progresser ses services, qu'ils soient commercial, marketing ou communication (ou digital sur les réseaux sociaux et avis en ligne. En clair, même les rois de la FAQ ont besoin... D'une FAQ de la relation client, que nous vous proposons aussi efficacement que possible ici pour répondre à vos questions... Et à vos communautés 😉
Comment construire une relation client qui vous ressemble ?
Comment suivre la satisfaction de vos clients qui s'expriment en ligne ?
Quels enseignements tirer des échanges avec vos clients ?
Où et quand être présent pour vos clients ?
Comment mutualiser les efforts de vos services sur les réseaux sociaux ?
Comment prolonger cette FAQ de la relation client en ligne ?
On connaît tous le poids des avis en ligne dans l'acte d'achat (n'est-ce pas ?) 💬
La relation client en ligne va au-delà du SAV (Service Après-Vente) : c'est une composante importante de votre e-réputation. 96 % des internautes sont ainsi influencés par l’e-réputation de la marque ou de l’entreprise lors d’un achat. Il faut donc que ces interactions donnent à voir le meilleur de votre enseigne.
Quelques points à respecter :
📍 Être en capacité technique et humaine de traiter tous les messages ;
📍 Mettre en place une FAQ et un arbre de décision pour structurer la relation client ;
📍 Personnaliser les interactions ;
📍 Aller au devant des besoins et des attentes pour tisser un lien particulier ;
📍 Faire preuve de répartie, d'esprit... Et d'empathie !
C'est bien pour cela que nous avons développé Lokus, notre plateforme de gestion et de valorisation des conversations en ligne. Robuste, adaptée, elle permet de tirer toute la richesse des avis, commentaires et contenus déposés par vos communautés.
C'est peu de le dire : les commentaires et avis que publient vos clients sont une précieuse source d'information.
Pour les écouter, les analyser mais aussi agir et interagir efficacement derrière, encore faut-il bien les appréhender !
Parmi les incontournables :
📍 Bien centraliser tous les avis laissés sur vos espaces sociaux, pour assurer la modération et la relation client ;
📍 Se munir d'un dispositif de veille, avec une équipe performante, pour repérer les commentaires et avis laissés sur des espaces tiers et intervenir en conséquence ;
📍 S'assurer d'un conseil fiable qui, à partir des données recueillies ci-dessus, va pouvoir restituer les informations-clés pour améliorer l'offre de service et le CRM / GRC.
La relation client en ligne, c'est aussi une formidable source d'informations-clés 🗃️
En plus de soigner votre SAV/CRM, l'intervention d'une équipe rompue à la détection de ces informations vous permettra de révéler toute la valeur de ces conversations 🏺
Au fil des avis, des questions, des commentaires et des réponses de vos clients et prospects se dessinent :
📍 Des tendances d'évolution des attentes consommateurs ;
📍 Des retours d'expérience ;
📍 Des personae en constante évolution ;
📍 Des idées neuves, en prise avec des besoins concrets ;
📍 Des informations sur votre secteur et vos concurrents ;
📍 Une image précise de vos forces et faiblesses en e-réputation.
C'est une question parmi les plus importantes... Et les plus stratégiques.
Ca n'a échappé à personne, Internet ne ferme jamais (même si Facebook prend parfois des pauses de 6 heures). Vos clients, eux, peuvent donc vous solliciter à tout moment.
Mais faut-il pour autant leur répondre en continu ?
Même s'il faut prendre en compte votre secteur d'activité, les internautes ne conçoivent plus de rencontrer les mêmes limites horaires sur le web social que devant un guichet physique.
Cela demande un peu d'adaptation pour :
📍 Etre présent 7/7J, aux heures principales d'activité de vos internautes. Ne serait-ce que pour accuser réception ;
📍 Répondre en public et en privé sur les réseaux sociaux sur lesquels vous communiquez ;
📍 Identifier rapidement ceux sur lesquels vous n'êtes pas présent... Mais vos clients, si. Et pour y parler de vous.
Une marque comme Le Creuset aurait-elle pu manquer la déferlante TikTok ?
Rester à l'écoute de vos clients, soigner votre SAV et votre e-réputation : c'est tout l'enjeu de la relation client en ligne.
🥽 Mettons-nous en situation... Et regardons les conversations en ligne avec les yeux du commercial, du responsable marketing et du directeur de la communication.
N'avez-vous pas constaté un manque de porosité entre différents services voulant chacun récupérer un maximum d'informations-clés (insights) sans mutualiser ces recherches ?
Avec un bon community management conversationnel, soutenu par une modération de qualité, on peut faire émerger :
📍 Toutes les tendances ;
📍 Toutes les données précieuses de la relation client ;
📍 Tous les micro-ambassadeurs et influenceurs potentiels ;
📍 Toutes les personae ;
📍 Toutes les données d'UX, suggestions d'amélioration et anticipations du marché ;
📍 Tous les élements de langage des communautés et sujets de prédilection.
De quoi faciliter aussi bien la tenue du planning éditorial que l'amélioration de l'expérience client... Ou la prospection ! Sans oublier d'assurer votre Service Après-Vente bien entendu.
C'est aussi ça, un CM de qualité !
Vous souhaitez en savoir davantage sur nos solutions ? Contactez-nous également pour prolonger la discussion 😉
Vous avez encore quelques questions restées sans réponse ? N'hésitez pas à nous les partager en commentaire, nous les ajouterons au contenu.
Que pèse l'empire Facebook dans l'écosystème du web social ? Après quelques heures de panne de Facebook, Instagram et Whatsapp, on en a désormais une vague réponse : environ un milliard de dollars par heure. S'il s'agit d'une simplification, on mesure tout de même l'ampleur pour le groupe lui-même... Et au-delà, on ne peut qu'imaginer l'onde de choc que cela représente pour de nombreux acteurs du numérique / digital et des médias sociaux plus particulièrement... Dont nous faisons partie.
Au niveau mondial, comment une telle panne de Facebook, Whatsapp et Instagram touche-t-elle des acteurs économiques, et dans quels secteurs ? Pour une société de modération, de veille numérique, de conseil en présence en ligne et de relation client digitale comme la nôtre, il est bien évident que la fermeture de ces robinets d'information empêche une bonne partie de l'activité de se dérouler normalement.
Bien sûr, et heureusement, Twitter a tenu bon ! Le réseau, adepte des Fail Whales régulières dans ses jeunes années, connaît une véritable stabilité qui lui confère un statut de refuge du web social, à des moments ou la maison digitale chancèle.
hello literally everyone
— Twitter (@Twitter) October 4, 2021
Même si, concrètement, Twitter n'est pas passé loin de la catastrophe non plus. Bref, revenons à notre sujet.
C'est une évidence, non ? Le commerce en ligne, la relation client digitale... Sont des activités qui ont besoin du web social pour prospérer. Bien sûr, TikTok s'est démocratisé et a pris une place de premier ordre ; Twitter est bel et bien là ; Snapchat n'a pas dit son dernier mot et Youtube, comme Twitch, possèdent une dimension vidéo propre qui, avec des formats plus longs, restent incontournables.
Et pourtant, Facebook et ses composants que sont Instagram et Whatsapp demeurent centraux... Et plus fortement encore dans certaines régions du monde, où Whatsapp a très tôt servi à éviter de coûteux frais de SMS ou de téléphone.
If you think WhatsApp, Instagram and Facebook being down is no big deal.
You are definitely not running a small business in an emerging market.#WhatsApp #facebookdown pic.twitter.com/Lw08kZov3a
— Ughelli Vibes (@Ughellivibes) October 4, 2021
De notre côté, par exemple, des marques comme Bjorg ou Carrefour et des institutions comme la CNAM nous ont confié leur relation client en ligne, la modération et la gestion de leurs interactions. Si nos activités cessent purement et simplement sur ces espaces durant quelques heures, la diversification des espaces nous oblige à rester présents par ailleurs. En revanche, quel impact cela a-t-il sur des entreprises dont la présence en ligne entière repose sur les espaces de Facebook ?
Les influenceurs Instagram en savent quelque chose : 💬 un seul réseau vous manque et tout est dépeuplé.
📱 Un grain de sable dans la machine et c'est la catastrophe : «Mon métier se trouve dans mon téléphone. Si je ne peux plus avoir accès à mon compte Instagram, j’ai l’impression d’être dépossédée.» #instagramdown #facebookdownhttps://t.co/J6Cl6mSGPm
— Libération (@libe) October 6, 2021
Et clairement, l'activité de bon nombre de comptes influents repose sur un seul réseau : Instagram pour les influenceurs, bien sûr, mais aussi Twitch pour les streameurs qui, privés de cette source de revenus, ne monétisent pas leurs tweets ou autres canaux à l'exception, pour certains, de Youtube. Alors que la toute récente grève sur Twitch a montré la fragilité de l'édifice, comment bien assurer sa présence en ligne en tant que marque sans risquer de se retrouver en situation de dépendance à un seul réseau ?
La réponse est dans la question : la diversification des canaux reste la clé.
Qu'il s'agisse de segmenter ses audiences (communication institutionnelle / grand public, panachage par tranche d'âge...), de permettre à divers types de contenus de trouver leur place ou de s'assurer un minimum d'indépendance face à un réseau, toute marque devrait diversifier ses canaux d'intervention.
Du site web aux réseaux sociaux, personne n'est à l'abri d'une attaque, d'une panne, d'une pollution par des audiences non négligeables... Qui peuvent vite compliquer les choses. bien sûr, la pollution reste un faux problème si l'on bénéficie d'une modération efficace ; toutefois, comme on l'a vu, rien ne permet d'affirmer que Whatsapp, Instagram ou Facebook ne seront encore là demain. Et en cas de disparition, comment combler le manque ?
Imaginez une marque qui aurait tout misé sur les stories Twitter ou LinkedIn... Alors qu'elle viennent de disparaître. Pas crédible ?
Très bien : imaginons maintenant une marque qui aurait tout misé sur IGTV... Pour l'instant, il y a peu de chances que cela arrive (au contraire) mais si un réseau venait à s'imposer clairement sur ce secteur, la fonction pourrait tout aussi bien décliner, avant de disparaître.
Ces obsolescences de fonctionnalités, dictées par les coûts de maintenance et la rentabilité, restent monnaie courante dans le monde des réseaux sociaux. RIP les fleets ou, bien avant, le précurseur MSN Messenger...
En clair, en plus de son propre site, qui peut permettre notamment d'héberger de si précieux avis en ligne, disposer de plusieurs réseaux sociaux... Et pas uniquement dans la galaxie Facebook, reste le meilleur moyen de bénéficier, en continu, d'options de communication et de webmarketing variées. Cela prend nécessairement plus de temps mais, avec le bon accompagnement, la valorisation des conversations en ligne et des retours de vos communautés n'en seront que plus payants 😉
Whatsapp, Messenger, Line, Telegram... Sont autant de canaux à ne pas négliger, à tous les niveaux. Si l'on sait que 63% des échanges sociaux se font sur ce dark social, on sait aussi que ces échanges privés, tout aussi viraux qu'impossibles à tracer de l'extérieur, peuvent avoir de lourdes conséquences dans la diffusion de l'information, comme au Brésil lors de la dernière élection présidentielle. Et si, avant d'établir une stratégie socialmedia pour 2020, on commençait par mettre au clair notre définition des réseaux sociaux et de leurs enjeux ?
Twitter, Facebook, LinkedIn et Instagram restent bien évidemment incontournables mais la pratique sociale doit-elle se considérer uniquement en public, de manière ouverte, ou bien auprès d'une communauté ou d'un groupe définis ? Si la deuxième option est généralement adoptée par tous, elle implique alors toutes les messageries et tous les échanges privés : c'est le dark social. Un anglicisme, certes, mais suffisamment clair pour évoquer ces échanges qui ne prennent pas la lumière, à l'abri de messages privés et de groupes d'utilisateurs fermés.
On l'a dit, Whatsapp a joué un rôle prépondérant dans la présidentielle brésilienne de 2018 mais aussi en Inde ou lors des élections européennes en 2019. A l'instar des chaînes de courriels, les messageries privées ont la capacité de faire circuler rapidement des informations dont la véracité n'interroge pas la plupart des destinataires. Un groupe privé représente, en effet, un lieu d'échange privilégié entre personnes de confiance. Ce phénomène sert de caisse de résonance aux infox (les fake news) et, plus largement, à la propagande politique... Comme l'énonce le rapport du CAPS et de l'IRSEM "Les manipulations de l'information, un défi pour notre démocratie" :
Les applications de messagerie de type WhatsApp et Telegram sont également un des vecteurs utilisés pour les campagnes de manipulation de l’information : à quelques reprises, les fausses informations ont en effet été diffusées via des groupes de discussion rassemblant un nombre très important d’abonnés. Le taux d’équipement mobile étant croissant et élevé, les barrières d’entrée très faibles (inscription et acquisition de l’application gratuites), les applications sont en mesure d’atteindre un fort seuil d’exposition tout en bénéficiant d’une absence totale de modération.
Pas réjouissant tout ça... Mais faut-il pour autant jeter la pierre aux messageries privées ? Tout est question d'usage et, au-delà de ces détournements, ces pratiques moins visibles recèlent bien des richesses pour les utilisateurs... Comme pour les entreprises.
Et lorsque l'on déplore l'absence totale de modération, cela ne veut pas dire absence de modérateurs : certes, les messages ne se refusent pas mais, en contact avec ces communautés, il est envisageable d'y répondre, de leur donner suite... Notamment pour le travail de gestion de la relation client (connue sous les acronymes GRC, SAV ou encore CRM).
Beaucoup d'observateurs de cette deuxième moitié de décennie étaient tentés d'isoler ces phénomènes en statuant que les échanges privés n'avaient que peu d'incidence sur la réputation, par essence publique. C'est, clairement, l'opposé de notre vision car toute information circulant entre personnes à propos d'une tierce partie, en public comme en privé, joue sur la réputation de celle-ci... D'ailleurs, le bouche-à-oreille n'est-il pas le graal des canaux commerciaux ?
Or, un cas client mal résolu dans la messagerie privée du compte social de l'entreprise et le risque de voir la personne se répandre en public augmente considérablement ; d'où la nécessité de ne pas négliger ce premier niveau privé de correspondance. Voici, chez Atchik, comment nous nous représentons ces espaces, leurs interactions et nos services associés :
Le principe de déversoir en e-réputation montre cette porosité entre privé et public :
Il convient donc de traiter les problèmes potentiels à la racine. Et outre ce soin nécessaire à apporter aux internautes en demande, le dark social apporte aussi une somme d'informations de premier ordre pour assurer au mieux votre réputation, suivre les évolutions du secteur et, par-dessus tout, rester à l'écoute des internautes et des aspirations des publics.