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"TikTok, du futile à l'utile" : c'est sous cet angle que nous avons abordé les intérêts et les enjeux de TikTok lors du deuxième Conv'Call, le rendez-vous d'Atchik sur Twitch. Vous l'avez raté ? Bonne nouvelle, il est disponible en replay ! 🥳
Un joli plateau, c'est avant tout des invités pertinents et ouverts à la conversation (et vous savez à quel point nous aimons les conversations). Pour l'occasion, nous avons été servis avec, aux côtés de Steve Bonet (directeur conseil et communication, Atchik) et moi-même :
Le replay est à découvrir directement sur Twitch (n'hésitez pas à vous abonner pour ne pas rater les prochains).
Il est également disponible de manière permanente ci-dessous, sur Youtube :
Dans le déroulé de la conversation ou selon questions du tchat, ces éléments ont figuré, parmi tant d'autres, au programme de ce stream. Alors, comment gagner des abonnés sur TikTok ? Petit extrait :
Le reste est à retrouver en replay 😉
Bon visionnage !
Chef de projet "Présence en ligne"
Pandémie, confinement, vaccination, élections présidentielles, faits divers sont autant de sujets sur lesquels les Français donnent leur avis sur les différents médias sociaux. Pour en garantir la tenue, ces conversations sollicitent un service de modération des commentaires des médias. Dans cette offre de réseaux sociaux et plateformes, Facebook reste encore pour la majorité des journaux le canal privilégié des lecteurs pour commenter, discuter et débattre dans la (plus ou moins) bonne humeur. Dans ce contexte, quelles stratégies les rédactions peuvent-elles mettre en place pour assurer la propreté de leurs réseaux sociaux, tout en préservant la liberté d’expression, les échanges cordiaux et constructifs et tirer profit des commentaires à forte valeur ajoutée pouvant s’y trouver ?
Quels que soient les objectifs poursuivis, les journaux doivent avant tout penser à la protection de leur image de marque. Et pour cela, ils doivent mettre en place une stratégie de modération efficace. Or, face à des commentaires pouvant parfois représenter plusieurs millions de messages par mois sur les différentes plateformes, plusieurs options se présentent pour assurer ce travail de modération. Ils peuvent, par exemple, laisser les journalistes assurer eux-mêmes cette mission, la déléguer aux community managers, recruter des modérateurs ou, dans une véritable optique de professionnalisation, faire appel à une société de modération dont c’est le métier.
Premier constat : les journalistes et les CM, déjà très occupés, ont peu de marge pour assurer la modération. Composer une équipe de modérateurs pouvant travailler tous les jours et 24h/24 n’est pas non plus toujours chose facile. Disposer du recul nécessaire et de la capacité à s’adapter à de fortes variations de volumes non plus.
Pour toutes ces raisons, les rédactions privilégient le plus régulièrement l’externalisation à une société de modération. Elles peuvent compter, pour cela, sur des entreprises comme Atchik pour les accompagner et protéger leur image.
Véritable décision stratégique, l’organisation de la modération des commentaires des médias conditionne son efficacité mais aussi sa pertinence sur le long terme, dans les temps faibles comme dans les pics d’actualité.
Depuis sept ans, Atchik travaille continuellement sur ses algorithmes et ses filtres pour offrir une modération des commentaires des médias efficace et rapide qui doit répondre à plusieurs objectifs.
Le premier consiste à protéger l’image de la marque. Pour les médias, cela consiste à supprimer le plus rapidement possible les contenus haineux, insultants et racistes. Grâce à sa technologie de modération augmentée, Atchik dispose d’une solution lexicale et sémantique capable d’isoler les éléments clairs de la haine en ligne pour les rendre invisibles.
Elle permet également de jouer sur le type de modération, que nous détaillons dans notre article sur la modération a priori et a posteriori. Alors que modérer depuis Facebook se fait forcément après publication, notre outil offre lui la possibilité de masquer, dès leur réception, les contenus problématiques avant qu'un modérateur ne les passe en revue.
De fait, notre intervention limite considérablement la capacité de nuisance de la haine en ligne.
Dans le même temps, cette solution technique permet de fluidifier les conversations en favorisant les contenus conversationnels à forte valeur ajoutée. Et s’il permet ce filtrage automatique, l’algorithme s’ajuste aussi en fonction des besoins. Ce système permet aux modérateurs de concentrer leurs efforts sur les éléments méritant une véritable attention.
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Si certains contenus haineux ou polluants ne nécessitent pas d’interventions, d’autres méritent au contraire une vraie expertise. C’est le cas des messages plus ambigus, des droits de réponse mais aussi des fausses informations, des témoignages d’internautes ou encore des contenus à risque.
Quels sont ces contenus à risque ? Propos menaçants, pensées suicidaires... Voire revendications d’actes terroristes peuvent survenir dans les commentaires. Bien que rares, ils doivent toutefois faire l’objet d’une attention sans faille. Dans le cas de messages nécessitant un signalement à la plateforme Pharos, pour un péril imminent ou une violation claire de la loi, les modérateurs restent incontournables.
Plus largement, les modérateurs vont pouvoir prendre la décision adaptée sur les contenus les plus sensibles, les plus complexes et les plus ambigus. Si les insultes à caractère raciste ne laissent que peu de doute, les propos plus ambigus comme « Celui qui a fait ça n’a pas dû grandir près des fjords », selon le contexte, peuvent revêtir un caractère haineux.
Enfin, la modération humaine permet de signaler les messages les plus intéressants pour une rédaction comme les témoignages, les réponses de personnalités ou les tendances de fond qui transitent par les commentaires. Aux premières loges des conversations, ils en révèlent toute la valeur.
Dans leur vie quotidienne, nos modérateurs sont aussi des lecteurs des médias français. Pour les vivre directement, professionnellement comme personnellement, ils comprennent les phénomènes qui transitent dans les conversations en ligne.
Références historiques ou culturelles, évolutions de langages, sous-entendus, faits d’actualité : les modérateurs d’Atchik ont toutes les références. Recrutés pour leur culture générale et leur esprit d’analyse, ils assurent un suivi de qualité sur les différents espaces, de Facebook aux sites de presse en passant par Youtube et tous les réseaux sociaux pertinents pour les médias.
Les modèles économiques des médias reposent sur deux ressources principales :
Et si le premier implique de garder des espaces attractifs, le second doit aussi permettre de fidéliser ses lecteurs. Et c'est là que la modération des commentaires des médias a son rôle à jouer.
Ainsi, que peut-on garantir à un abonné ? D’abord, de ne pas regretter son choix. Il est donc primordial de lui fournir un service de qualité... Et, donc, des espaces de commentaires conformes à ses attentes éditoriales.
Ensuite, la capacité à commenter constitue une raison de rester. Et au-delà, recevoir des interactions de qualité en toute sécurité augmente cet intérêt la fierté de contribuer au média.
Enfin, toute récompense de sa fidélité s’avère intéressante… Ainsi, mieux vaut pouvoir compter sur des modérateurs connaissant bien les communautés pour identifier les internautes les plus remarquables.
Mais au-delà, comment donner envie aux lecteurs de s’abonner ? Là encore, le modérateur attentif pourra identifier les contributeurs réguliers à qui proposer diverses formules, voire une version d’essai préférentielle… Et donc monétiser ces espaces de commentaires.
➡ Découvrez Mediaktiv, notre offre de modération conçue pour les médias
Ajoutés aux nombreux témoignages pouvant alimenter chaque jour la rédaction en articles potentiels, ces services réguliers rendus par un service de modération expert des médias permettent de renforcer la cohérence éditoriale… Mais aussi le modèle économique et la rentabilité des titres.
On parle souvent de "jungle des internets" car oui, il est difficile de s'y retrouver. Alors, comment en suivre l'actualité en tant que professionnel ou simple curieux ? On vous a préparé une petite sélection de newsletters, lettres d'information ou infolettres - selon votre exigence linguistique - incontournables pour suivre, en français, l'actualité du numérique (digital) et des médias sociaux sous divers angles. De quoi vous assurer une veille professionnelle efficace et agréable dans votre boîte aux lettres 😉
Actualité des plateformes, des dernières technologies, des tendances... Ou mise à jour en matière d'opinion, de communication numérique, de phénomènes en ligne ? Sans compter les dernières pratiques du "digital", de la modération au webmarketing en passant par le community management et les diverses formes de veille... Le numérique évolue à une allure telle qu'il faut s'assurer, à chaque instant, d'en suivre les nouveautés. Sans tomber dans la saturation, cette fameuse infobésité.
Pas de panique : en quelques abonnements à des newsletters bien choisies, il vous est possible de raccrocher les wagons sans quitter votre boîte mail, quitte à creuser par vous-mêmes plus spécifiquement par la suite ! Voici notre petite sélection du moment.
Vous ne nous en voudrez pas de commencer par nous 😇
Une newsletter qui résume chaque semaine toute l'actualité des conversations en ligne, des réseaux sociaux et des phénomènes issus du web social ? Telle est la ligne directrice de L'Hebdo du web social. Concoctée par le pôle veille et conseil d'Atchik, notre lettre d'information retranscrit ce qui transite par les médias sociaux, à différentes échelles.
L'Hebdo du web social, chaque semaine.
Les formats innovants et créatifs pour communiquer en ligne, Kéliane Martenon les observe et les pratique depuis plusieurs années. Et pour cause : rompue à la communication politique, elle suit et analyse avec précision les tendances, esthétiques comme de fond, de la diffusion de messages. Sa lettre d'information Sur les internets s'affiche aujourd'hui comme une référence du suivi des usages sur le web social et au-delà.
Sur les Internets, toutes les deux semaines.
"La newsletter mensuelle des professionnels de la com' digitale" est signée Visibrain. L'outil de veille sur les réseaux sociaux, aux premières loges de l'observation des phénomènes en ligne et des variations de volume, livre ici chaque mois les observations liées à ces fluctuations et aux réactions en ligne à l'actualité brûlante.
WHATSUP, chaque mois.
C'est notre petit bonbon des internets. Réconfortant, sucré mais aussi très acide, voire piquant. Car Tech Trash, lettre d'information de passionnés du secteur, passe au crible le meilleur et (surtout) le pire de la start-up nation, de la tech et des usages en ligne... Avec, au final, de vraies pistes de réflexion pour la suite. D'ailleurs, la même équipe a monté Climax, centrée sur les enjeux environnementaux, avec la même ferveur et la même rigueur. On ne saurait que trop vous conseiller de les lire, voire de les appuyer.
Tech Trash, chaque semaine.
La belle infolettre partagée chaque mois par l'équipe de Human to Human (groupe Hopscotch) permet de mieux comprendre le web social. En analysant des phénomènes, en creusant autour de faits ou d'annonces, elle apporte un éclairage bienvenu pour appréhender l'évolution du numérique et de nos échanges en ligne, avec une profondeur et une longueur de contenu appréciables. Une incontournable !
Scroll, chaque mois.
Il y a La French Stack, bien sûr !
Chacun aura bien noté la petit allusion à La French Tech dans le nom. Pourtant, le champ dépasse largement celui du numérique dans cette liste qui regroupe, tout simplement, différentes infolettres toutes plus recommandables les unes que les autres... Une curiosité à satisfaire ? C'est ici que ça se passe 🤩
Et vous, quels sont vos coups de coeur ? N'hésitez pas à nous recommander vos NL préférées en commentaires.
L'activité de modération des commentaires sur les réseaux sociaux et autres espaces du web social paraît simple : traiter les conversations en ligne pour retirer les contenus à risque et mettre en valeur ceux qui le méritent. Pourtant, ce service en apparence si limpide englobe diverses réalités. Et parmi celles-ci, le secteur, le type d'activité de l'espace à modérer, changent la donne. Ainsi, une entreprise de modération comme Atchik, spécialiste des conversations en ligne, intervient-elle de la même manière dans les espaces de commentaires d'un média, d'une entreprise, d'une ONG ou d'une institution ? La réponse est bien évidemment non : reste à voir, ensemble, quelles différences conduisent à penser sur mesure ces interventions.
Derrière l'activité de modération se cache une grande diversité de situations. Un "modérateur Facebook" par exemple, tel que décrit par le sociologue Antonio Casilli, ne fera pas la même chose, et encore moins dans les mêmes conditions, que l'un de nos modérateurs. Ce dernier intervient bien sur Facebook mais uniquement sur les pages de nos clients, selon la charte de modération en vigueur sur la page et non les conditions propres à Facebook. Et il en va de même pour Instagram, Twitch, Youtube, LinkedIn, Twitter et tous les espaces de discussion administrés par ce client, des réseaux sociaux aux commentaires et avis en ligne sur son propre site web.
Il s'agit donc, pour une société de modération comme la nôtre, d'intervenir au nom de nos clients, sur leurs espaces sociaux. Jusqu'ici, tout est clair. Or, modérer les commentaires d'une page institutionnelle ne revêt pas les mêmes enjeux que la modération pour les médias, par exemple. Et c'est précisément là que l'expertise de nos spécialistes des conversations en ligne s'avère décisive, afin de valoriser au mieux les différentes contributions.
La réalité des "annonceurs" dépend très fortement du secteur, de la taille de l'entreprise, du modèle économique ou encore de la cible d'audience. Dans le domaine de la santé ou de l'agro-alimentaire, par exemple, les formes de discussions, la nature des commentaires sont nécessairement appelées à différer.
Toutefois, par rapport à des médias, des personnalités ou des institutions, certaines distinctions opèrent, à commencer par le type d'interaction.
Dans la très grande majorité des cas, les contenus portés par des annonceurs sur les réseaux sociaux possèdent une dimension publicitaire ou, plus largement encore, promotionnelle. Les interactions à traiter proviennent ainsi en grande majorité de consommateurs, potentiels ou avérés. C'est là une première distinction qui, nécessairement, induit de devoir appréhender des avis clients, des retours d'expérience et des commentaires à traiter dans une logique de SAV.
Dès lors, la modération ne peut pas simplement jouer un rôle de filtre pour écarter les commentaires indésirables. Elle doit, pour être profitable :
La modération, pour les annonceurs, reste ainsi très solidaire du reste de l'activité de community management conversationnel. C'est, en l'état actuel, un élément différenciant d'une intervention pour les médias par exemple.
Bien sûr, un média a tout intérêt à interagir avec ses communautés, c'est-à-dire ses lecteurs. Toutefois, avec des volumes de conversations souvent très importants, il est impossible de prendre part à toutes les discussions. La part de la modération reste ainsi bien plus importante que les autres activités de CM conversationnel, de la gestion de la relation client (les abonnés) à l'animation de communautés, par des réponses comme des likes ou mentions d'internautes.
Retrouvez ici notre livre blanc consacré à la valorisation des commentaires pour les médias.
Le volume de commentaires distingue donc, déjà, la modération pour les médias. Aujourd'hui, le rythme de publication de posts par un média sur les réseaux sociaux (souvent toutes les 15mn sur Facebook, encore plus sur Twitter) induit forcément de hauts volumes de commentaires, sur différents sujets.
Ce point dévoile une différence fondamentale : contrairement à un annonceur qui, lui, témoigne quasi-uniquement de son secteur d'activité, un média va partager tous ses articles. Et à chaque rubrique son thème, sa communauté de lecteurs, son langage... Et son degré de haine en ligne.
Le média, dans la modération de ses commentaires, est en proie à une triple réalité :
La modération va donc s'avérer incontournable pour démêler les lignes de force à l'oeuvre dans les espaces de commentaires, véritables terrains stratégiques... Surtout à l'approche d'échéances électorales.
➡ Retrouvez notre article consacré à la modération de commentaires pour les médias.
Dans un deuxième temps, elle va aussi impliquer de vrais retours d'expérience sur la réception des sujets, les attentes des lecteurs ou les besoins d'éclaircissement. Elle va jouer un rôle de médiation avec la rédaction, impliquant de signaler divers contenus. Les témoignages dignes d'intérêt ou les signalements de "coquilles" disposent dès lors d'une grande valeur.
Enfin, la modération se doit de signaler tout problème de type "SAV" sur des questions d'abonnement, de réception de fréquence ou autre accès au service, afin de garantir la meilleure "expérience client".
➡ Retrouvez ici un cas concret de modération à forte valeur ajoutée avec notre intervention pour France Médias Monde.
Si les médias agissent comme une caisse de rénonance pour faire entendre certaines causes ou idées politiques, que dire des pages d'intitutions ? Du rôle de la fonction publique aux grands mouvements de société, de nombreuses pages institutionnelles se font en permanence le réceptacle de revendications.
Or, le rôle premier de ces pages est d'informer le grand public sur les grandes actions menées. Il est aussi d'aiguiller les citoyens dans leurs démarches et de les tenir au courant de la vie institutionnelle et sociétale. Justement, n'y aurait-il pas plusieurs types de pages institutionnelles ?
On peut en distinguer deux, qui vont conduire à des pratiques différentes :
Dans certains cas, comme celui d'un ministère, les deux aspects se trouveront indissociables. Cette réalité ressort parfaitement des expériences décrites par le responsable de la communication numérique du ministère des Sports par exemple.
Ensuite, selon l'actualité, ces pages peuvent connaître de très fortes variations de volumes. Il s'agit d'un point à ne pas négliger pour appréhender au mieux la modération de ces espaces et la sécurité des internautes.
Enfin, pour ne citer qu'un dernier point parmi tant d'autres, la vigilance vis-à-vis de contenus haineux reste de mise. Tout message représentant une menace ou un péril imminent se doit ainsi de faire l'objet d'une procédure adaptée.
En clair, diverses notions s'imbriquent pour donner lieu à des réalités d'intervention en modération bien distinctes. Un même individu peut être à la fois lecteur, spectateur, citoyen et consommateur... Et ces différentes facettes immpliquent un service de modération à la hauteur. Car au-delà des outils de modération ou des systèmes permettant une automatisation des tâches, c'est bien l'expertise humaine qui permet de tirer intelligemment et durablement toute la valeur des interactions du web social.
Comment tirer le meilleur des conversations en ligne ? Pour les médias, l'enjeu est de taille, notamment pour exploiter les nombreux témoignages qui parviennent en commentaires. Notre retour chiffré sur la modération opérée au premier trimestre 2021 pour France Médias Monde éclaire sur les possibilités.
Les conversations en ligne prennent une part toujours plus importante dans l'animation du web social. En 2020, l'activité d'Atchik a ainsi augmenté de 40%. Dans leur étude auprès de mille professionnels de la communication et du marketing, Talkwalker et Trustpilot rapportent également que "82% des participants estiment que la pandémie a bouleversé leur perception des conversations des consommateurs". Avant même d'engager la conversation dans les commentaires sur les réseaux sociaux, ce qui s'avère déterminant, la qualité de l'activité de modération va permettre de rendre toute leur valeur, tout leur intérêt aux espaces de discussion... Mais aussi de détecter tous les contenus de valeur.
Prenons le cas de France Médias Monde, groupe chargé de l'audiovisuel international français, pour qui nous assurons la modération sur les réseaux sociaux. RFI et France 24 par exemple font partie de France Médias Monde. Ces canaux, en plusieurs langues et sur divers réseaux sociaux, représentent des volumes considérables de messages qui parviennent de toute la francophonie et, au-delà, du monde entier.
Comment, dès lors, faire face tout en assurant une qualité de service à tout instant ? Nos équipes, en s'appuyant sur une solution logicielle propriétaire :
🟢 Ecoutent, analysent et traitent chaque jour des milliers de contenus...
🟢 En tirent de précieuses informations, restituées aux rédactions de FRANCE 24 et RFI - Radio France Internationale.
Découvrez ci-dessous notre rapport chiffré portant sur l'activité des trois premiers mois de l'année 2021 :
Et pour aller plus loin : retrouvez notre livre blanc consacré à la valorisation des espaces de discussion des médias.
Comment bien gérer ses avis clients ? Véritables thermomètres de la réputation de votre marque ou d'un produit, moteurs du SEO, ils constituent un pilier essentiel du web social. Mais pour en faire de vrais atouts, encore faut-il bien les aborder ! De Trip Advisor à Trustpilot en passant par Amazon et Google My Business, voici quelques incontournables de la valorisation des avis en ligne.
Commençons par une évidence :
Avoir des avis en ligne sur sa marque, ses produits ou ses services, c'est bien ; en avoir des bons, c'est mieux !
Pourtant, beaucoup d'erreurs peuvent venir de décisions trop peu réfléchies à partir de ce constat, justement... Et nous allons voir pourquoi, au fil des quelques conseils distillés ici.
On l'a dit plus haut : les avis clients, c'est bien... Mais peut-être pas partout non plus ! Si chacun laisse des avis aux quatre coins du web, il vous sera difficile de les suivre et d'y répondre, d'où l'intérêt de bien choisir vos priorités selon vos capacités de suivi et vos ambitions.
Votre site doit-il obligatoirement héberger des avis en ligne ? Tout dépend de votre activité mais si vous vendez sur des plateformes comme Amazon ou CDiscount par exemple, cela peut faire double emploi. A l'inverse, si votre activité est directement liée à des prestations sur votre site, comme c'est le cas pour Engie, dont nous traitons les avis, mieux vaut disposer d'une plateforme intégrée à votre site web.
Par ailleurs, Google My Business, s'avère un bon point de départ pour son activité si celle-ci possède un ancrage géographique, comme dans les services ou le commerce.
En d'autres termes : ne pas supprimer les critiques.
On peut être tenté, surtout sur son propre site, de ne laisser visibles que les avis positifs... C'est une erreur, car personne n'est vraiment dupe. Et au final, un espace qui laisse la place aux critiques s'avère bien plus rassurant et digne de confiance.
Il convient donc de mettre en place un système de modération à la fois réactif, bienveillant mais aussi objectif, qui énonce clairement dès l'entrée les conditions de publication d'un avis client. Parmi les règles élémentaires, nous conseillons notamment de refuser le hors-sujet, de limiter les insultes et le langage grossier et de ne pas permettre la diffamation. Cela implique que le consommateur doit pouvoir fournir une preuve d'achat à la demande... Sans quoi n'importe qui pourrait venir raconter n'importe quoi.
Certes, Facebook met à disposition un onglet "Avis" pour les pages, activé par défaut... Mais il est impossible d'y supprimer un avis. Et comme nous l'avons vu juste au-dessus, il faut éviter les contenus calomnieux voire diffamatoires.
Or, si l'on ne peut pas supprimer un avis laissé par une personne mal intentionnée, voire un concurrent déloyal, quel recours reste-t-il ? Répondre, bien entendu, mais Facebook ne permet pas suffisamment de maîtrise dans la gestion des avis pour en faire un point fort. Mieux vaut donc désactiver les avis Facebook et concentrer les retours d'expériences de vos clients là où il comptent vraiment.
Ne l'oublions pas, le community management conversationnel implique aussi les réponses aux avis clients ! Si un retour consommateur peut, à travers un avis, trouver une solution, vous devez pouvoir lui apporter. Si un avis en ligne montre une vraie satisfaction, vous devez aussi accueillir ce retour d'expérience client comme il se doit.
Dans tous les cas, la réactivité de votre relation client témoignera d'une vraie prise en compte et d'un vrai soin de vos services en matière d'expérience client et de qualité. C'est là un point important de votre présence en ligne. Et, donc, de votre e-réputation.
Tous ces avis, tous ces retours d'expérience... méritent un soin particulier. Car ils sont autant d'enseignements précieux non seulement pour améliorer votre service client mais aussi pour répondre aux besoins naissants et imaginer vos offres de demain. Cette veille sur les avis clients, c'est déjà de la prospective pour votre marché.
Et pour aller encore plus loin, les comparaisons avec certains de vos concurrents dans les avis ou le champ lexical, le registre de langage employés et autres indicateurs fins vous ouvrent de nouvelles portes. Celles d'une connaissance très fine de vos clients, de leurs attentes et de la meilleure manière de s'adresser à eux. Cet effort de veille vous permet d'améliorer l'ensemble de votre community management, de la création de contenu au CM conversationnel.
Une fois ces points évoqués, encore faut-il disposer de moyens de suivi et de traitement à la hauteur des enjeux. N'hésitez pas à revenir vers nous, nos équipes se feront un plaisir de vous renseigner sur un dispositif de community management conversationnel adapté.