Découvrez Atchik-Booost.com, notre solution pour optimiser la visibilité des petites et moyennes entreprises

février 26, 2020
Barbara Desborde

Partant souvent d’une bonne intention, les interactions entre les collaborateurs et leur entreprise sur les réseaux sociaux peuvent ne pas avoir les effets attendus vis-à-vis l’image de l’entreprise comme pour le salarié. Et si, en tant que salarié justement, on souhaite participer, on peut le faire sans aller jusqu’à publier soi-même ou, plus simplement, commenter.

Comment, alors, participer et donner de la visibilité à son profil employé ainsi qu’à son entreprise sans pour autant trop s’engager ?

On vous donne quelques astuces 😉

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LinkedIn : Le réseau à privilégier

Si vous ne devez choisir qu’un réseau social - faute de temps ou tout simplement d’envie – ce sera celui-ci. Pour quelle raison ? Parce que c’est celui qui mettra le mieux en avant une marque employeur (pour les néophytes, je vous invite à aller en consulter la définition ici) et un « profil employable », c’est donc gagnant-gagnant !

Plusieurs moyens d’interagir avec son employeur sur LinkedIn :

Marque employeur linkedin like partage commentaire

Si vous choisissez l’option « commenter », attention au ton que vous emploierez : nous conseillons un ton professionnel et plutôt formel, ce qui n’empêche évidemment pas une petite touche d’humour. Professionnel ne veut pas dire soporifique !

 

Facebook : un espace de communication grand public

La plateforme, malgré des rumeurs persistantes concernant son inefficacité, reste un biais de diffusion indispensable lorsqu’il s’agit d’informations destinées au grand public. C’est d’ailleurs sur Facebook que nous retrouvons le plus grand nombre d’inscrits (2,5 milliards d'utilisateurs actifs chaque mois, quand même !).

Malheureusement pour les structures, son algorithme cherche à encourager les entités à budgétiser leurs posts en limitant leur portée organique. Il faudra donc redoubler d’efforts pour que la publication bénéficie d’une belle visibilité sans sponsorisation !

Petits conseils pour permettre à une publication de toucher une audience plus large :

Marque employeur facebook like partage story

Les réactions (like, wow, j’adore, …) ne sont pas vraiment conseillées sur Facebook contrairement aux autres réseaux sociaux puisque cet algorithme analyse et apprend à connaitre l’audience d’une page pour ensuite reproposer ces contenus aux publics qui y ont adhéré : si les publications ne génèrent de réactions quauprès des collaborateurs de lentreprise, lalgorithme comprendra alors que c’est la cible à privilégier. Or, l’idée ici n’est pas de cibler les collaborateurs mais le grand public : mieux vaut donc partager ou commenter 😉

 

Twitter : ici, tout est permis

Commenter, retweeter, liker… c’est LE réseau sur lequel vous pouvez tout faire (dans les limites de la bienséance, bien entendu 😏).

Si vous souhaitez donner de la visibilité à votre structure sans trop vous engager, un like fera l’affaire. Si au contraire vous voulez compléter l’information, alors n’hésitez pas à commenter ou à retweeter avec commentaire : bref, faites-vous plaisir !

Marque employeur twitter like partage story

Vous l’aurez compris, il n’y a pas vraiment de règle du côté de l’oiseau bleu, mais intervenez tout de même de manière professionnelle, bien évidemment !

 

Instagram : les stories, véritables leviers

Longtemps laissé de côté par les annonceurs, Instagram est devenu le réseau social de l’engagement et donc the place to be pour les structures. En revanche, si vous êtes vous-même utilisateur-trice d’Instagram, vous savez que seules les publications des comptes que vous suivez apparaitront dans votre fil d’actualité, contrairement à LinkedIn, Facebook et Twitter qui y font également apparaitre ce que vos ami(e)s/abonné(e)s ont liké ou commenté. Ce n’est donc pas de cette manière que vous pourrez participer à la diffusion d’une publication de votre employeur. Pour cela, l’idéal est de partager la publication en story, qui reste le format le plus sûrement visible sur le réseau social !

Plusieurs possibilités :

  • Le format d’origine est déjà une story et vous avez été mentionné(e) : la fonctionnalité « repost» vous sera proposée.
  • Le format d’origine est une story mais vous n’avez pas été mentionné(e) / il s’agit d’une publication classique : il faudra prendre une capture d’écran de la publication initiale et la reposter comme votre propre story.

Bien entendu, rien ne vous empêche de réagir en likant et commentant la publication de votre employeur, cependant elle ne gagnera aucune visibilité supplémentaire, seulement de l’engagement !

Pour résumer :

Marque employeur instagram like partage story

Vous avez maintenant les fondamentaux, à vous de jouer !

Barbara

Dans le cadre de la semaine de la Mélée Numérique, une conférence a piqué notre curiosité : L'intrapreneuriat, booster d'innovation. Et nous, forcément, l'innovation, on adore ! Encore très peu connu en France, l'intrapreneuriat est pourtant une solution efficace dans le management de projet, de valorisation du travail et d'engagement.
En une définition simple, ce concept consiste à laisser ses collaborateurs entreprendre des projets innovants au sein de l'entreprise tout en étant cohérent avec son activité. Mais concrètement, pourquoi est-ce bénéfique à tout le monde ? Réponse en quelques points.


Logo Mêlée numérique
 

Mais à quoi ça sert ?

Au niveau du collaborateur, cela permet d'entretenir leur potentiel d'innovation, la prise de décision, d’initiatives, d'autonomie et d'employabilité. Tout cela dans le but de booster leur motivation et leur implication dans leur entreprise.

Les salariés sont en perpétuelle recherche de sens et éprouvent le besoin d'être utiles et valorisés dans leur organisation.

Cela donne aussi la possibilité aux salariés d'éviter les process lourds, pour laisser la place à la créativité !

A l'échelle de l'entreprise, c'est un tremplin pour devenir plus agiles, de se renouveler, de repérer / garder les talents mais surtout de rester encore et toujours compétitive !

 

Comment ça marche?

Il faut savoir que l'intrapreneuriat se fait sur la base du volontariat et n'est pas rémunéré. Pour être mis en place, il faut 2 acteurs au minimum : le dirigeant qui approuve le projet et la/les personne(s) qui propose(nt) le projet.

Même si la prise d'initiative vient du salarié, il doit y avoir l'approbation du dirigeant, ce qui peut être un frein.

Pour une bonne mise en place de ce projet au sein d'une entreprise, il faut respecter certaines règles :

  • Dans un premier temps, déterminer des objectifs précis en examinant tout le potentiel de l'idée proposée ;
  • Ensuite, créer des dispositifs pour favoriser l'intrapreneuriat(centres de décisions indépendants de la Direction Générale par exemple) ;
  • Puis, encourager tous les projets et les idées innovantes soumises en favorisant les plus innovantes ;
  • Enfin, faire un suivi de l'intrapreneur et lui donner toutes les cartes pour qu'il puisse développer son projet jusqu'au bout.

 

Dans quel but ?

Dans toutes les entreprises, il y a un potentiel énorme dans chacun des collaborateurs. Souvent, celui-ci n'est pas exploité. L'intrapreneuriat permet de combler la recherche perpétuelle de sens et le besoin de reconnaissance au sein de l'entreprise. Cela renforce l'engagement, la motivation, l'aspect collaboratif, le gain d'autonomie et de responsabilité dans le travail.

Petit bémol toutefois : il ne faut pas oublier qu'il y a seulement 2 à 5% d'intrapreneurs dans les entreprises en France. Cette activité parallèle n'est pas accessible pour tout le monde. Certaines personnes ne sont pas des entrepreneurs ou même ne sont tout simplement  pas à l'aise  dans le fait d'être en autonomie totale et avoir des responsabilités. C'est une charge de travail supplémentaire et un stress important qui se rajoute à la vie quotidienne du travail.

Comme toute démarche innovante, le concept d'intrapreneuriat nous séduit chez Atchik, d'autant plus qu'il stimule la créativité personnelle comme collective. Cette émulation mérite, selon nous, d'être largement creusée. Si vous souhaitez en parler avec nous, notre blog vous est ouvert )

Lucie, selon le témoignage de Jill

Conférence sur les piliers de la transformation numérique à la Mêlée

Atchik était aussi à la conférence sur les trois piliers de la transformation digitale

 

La Mêlée Numérique 2018 s’est penchée, le temps d’un atelier animé par Marie Ville et Emma Zahn de l'agence 636, sur les spécificités du B2B en matière de communication en ligne. Que ce soit pour apprendre, pour échanger ou se situer sur le socialmedia, Atchik ne pouvait pas manquer ça ! Petit résumé de notre vision des choses.

 

Si la porte d’entrée des entreprises a clairement été la mise en avant des marques auprès des consommateurs dans les premières années dorées des réseaux sociaux, Facebook et Twitter en tête, les solutions sont aujourd’hui extrêmement diverses. Stratégies, lignes éditoriales, répartition des efforts en fonction des médias sociaux investis, les possibilités sont presque infinies. Mais au-delà du consommateur final ou de l’individu, les groupes, les personnes morales peuvent se parler entre elles. Mieux : les personnes physiques représentent elles-mêmes une entreprise. Elles jouent un rôle d'ambassadeur ou peuvent puiser des idées pour leur organisation sur le web social. Comment en tirer le meilleur parti ?

Si l’atelier a passé en revue les grandes lignes de l’élaboration d’une stratégie, elle a également rappelé, et même remis au centre, le besoin d’implication des collaborateurs pour promouvoir leur propre entité. Les personnes qui composent l’entreprise sont ainsi, moyennant formation ou mise à niveau sur les réseaux sociaux, un puissant levier de notoriété et de communication vertueuse.

Le recrutement et la stratégie de marque employeur constitue également une vraie force : pour recruter, d’abord, mais aussi pour soigner la réputation du groupe et de l’entreprise. Et ce qui se passe ici constitue selon nous le véritable enseignement, en filigrane, de l’atelier : si l’intervention B to C peut parfois, notamment pour les médias, retomber dans des travers de communication à sens unique, le B to B scénarise bien davantage l’aspect social qui, forcément, remet les échanges au centre du jeu.

 

Vers (enfin!) une prise de conscience du « réseau social » en tant que tel

Par la nature même des espaces investis, Twitter et LinkedIn en tête, la hiérarchie qui pouvait exister entre la marque et le consommateur en B to C n’a plus lieu d’être : elle serait même contre-productive. On a donc là un véritable besoin social et conversationnel dans la prise de parole en ligne.

Quel meilleur indice, d’ailleurs, que de constater que l’atelier était résolument orienté grand public alors même que l’on aurait pu attendre un événement socialmedia dédié aux professionnels ? Dans la formulation des problématiques comme dans le déroulement, il nous a paru clair que l’enjeu était aujourd’hui dans la diversification et dans la diffusion. Cela rejoint notre vision du secteur, qui met au centre le contenu social, celui issu des témoignages authentiques : commentaires d’internautes, interventions de collaborateurs, dialogues entre entités… Cette communication authentique valorise l’ensemble des parties prenantes et permet d’instaurer un cycle de communication vertueuse. En termes de reconnaissance d’ambassadeurs, voire de prescripteurs, mais aussi de notoriété dans un secteur donné et d’enrichissement par les réseaux sociaux, la recette semble inimitable.

Nous y croyions dur comme fer avant… Et cet atelier, dans sa présentation comme dans son contenu, a largement permis de conforter une vision socialmedia que nous n’avons de cesse de partager. Pourquoi pas avec vous ? 😉

Steve, selon les témoignages de Barbara et Jill

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