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Dans le cadre de la semaine de la Mélée Numérique, une conférence a piqué notre curiosité : L'intrapreneuriat, booster d'innovation. Et nous, forcément, l'innovation, on adore ! Encore très peu connu en France, l'intrapreneuriat est pourtant une solution efficace dans le management de projet, de valorisation du travail et d'engagement.
En une définition simple, ce concept consiste à laisser ses collaborateurs entreprendre des projets innovants au sein de l'entreprise tout en étant cohérent avec son activité. Mais concrètement, pourquoi est-ce bénéfique à tout le monde ? Réponse en quelques points.
Au niveau du collaborateur, cela permet d'entretenir leur potentiel d'innovation, la prise de décision, d’initiatives, d'autonomie et d'employabilité. Tout cela dans le but de booster leur motivation et leur implication dans leur entreprise.
Les salariés sont en perpétuelle recherche de sens et éprouvent le besoin d'être utiles et valorisés dans leur organisation.
Cela donne aussi la possibilité aux salariés d'éviter les process lourds, pour laisser la place à la créativité !
A l'échelle de l'entreprise, c'est un tremplin pour devenir plus agiles, de se renouveler, de repérer / garder les talents mais surtout de rester encore et toujours compétitive !
Il faut savoir que l'intrapreneuriat se fait sur la base du volontariat et n'est pas rémunéré. Pour être mis en place, il faut 2 acteurs au minimum : le dirigeant qui approuve le projet et la/les personne(s) qui propose(nt) le projet.
Même si la prise d'initiative vient du salarié, il doit y avoir l'approbation du dirigeant, ce qui peut être un frein.
Pour une bonne mise en place de ce projet au sein d'une entreprise, il faut respecter certaines règles :
Dans toutes les entreprises, il y a un potentiel énorme dans chacun des collaborateurs. Souvent, celui-ci n'est pas exploité. L'intrapreneuriat permet de combler la recherche perpétuelle de sens et le besoin de reconnaissance au sein de l'entreprise. Cela renforce l'engagement, la motivation, l'aspect collaboratif, le gain d'autonomie et de responsabilité dans le travail.
Petit bémol toutefois : il ne faut pas oublier qu'il y a seulement 2 à 5% d'intrapreneurs dans les entreprises en France. Cette activité parallèle n'est pas accessible pour tout le monde. Certaines personnes ne sont pas des entrepreneurs ou même ne sont tout simplement pas à l'aise dans le fait d'être en autonomie totale et avoir des responsabilités. C'est une charge de travail supplémentaire et un stress important qui se rajoute à la vie quotidienne du travail.
Comme toute démarche innovante, le concept d'intrapreneuriat nous séduit chez Atchik, d'autant plus qu'il stimule la créativité personnelle comme collective. Cette émulation mérite, selon nous, d'être largement creusée. Si vous souhaitez en parler avec nous, notre blog vous est ouvert )
La Mêlée Numérique 2018 s’est penchée, le temps d’un atelier animé par Marie Ville et Emma Zahn de l'agence 636, sur les spécificités du B2B en matière de communication en ligne. Que ce soit pour apprendre, pour échanger ou se situer sur le socialmedia, Atchik ne pouvait pas manquer ça ! Petit résumé de notre vision des choses.
Si la porte d’entrée des entreprises a clairement été la mise en avant des marques auprès des consommateurs dans les premières années dorées des réseaux sociaux, Facebook et Twitter en tête, les solutions sont aujourd’hui extrêmement diverses. Stratégies, lignes éditoriales, répartition des efforts en fonction des médias sociaux investis, les possibilités sont presque infinies. Mais au-delà du consommateur final ou de l’individu, les groupes, les personnes morales peuvent se parler entre elles. Mieux : les personnes physiques représentent elles-mêmes une entreprise. Elles jouent un rôle d'ambassadeur ou peuvent puiser des idées pour leur organisation sur le web social. Comment en tirer le meilleur parti ?
Si l’atelier a passé en revue les grandes lignes de l’élaboration d’une stratégie, elle a également rappelé, et même remis au centre, le besoin d’implication des collaborateurs pour promouvoir leur propre entité. Les personnes qui composent l’entreprise sont ainsi, moyennant formation ou mise à niveau sur les réseaux sociaux, un puissant levier de notoriété et de communication vertueuse.
Le recrutement et la stratégie de marque employeur constitue également une vraie force : pour recruter, d’abord, mais aussi pour soigner la réputation du groupe et de l’entreprise. Et ce qui se passe ici constitue selon nous le véritable enseignement, en filigrane, de l’atelier : si l’intervention B to C peut parfois, notamment pour les médias, retomber dans des travers de communication à sens unique, le B to B scénarise bien davantage l’aspect social qui, forcément, remet les échanges au centre du jeu.
Par la nature même des espaces investis, Twitter et LinkedIn en tête, la hiérarchie qui pouvait exister entre la marque et le consommateur en B to C n’a plus lieu d’être : elle serait même contre-productive. On a donc là un véritable besoin social et conversationnel dans la prise de parole en ligne.
Quel meilleur indice, d’ailleurs, que de constater que l’atelier était résolument orienté grand public alors même que l’on aurait pu attendre un événement socialmedia dédié aux professionnels ? Dans la formulation des problématiques comme dans le déroulement, il nous a paru clair que l’enjeu était aujourd’hui dans la diversification et dans la diffusion. Cela rejoint notre vision du secteur, qui met au centre le contenu social, celui issu des témoignages authentiques : commentaires d’internautes, interventions de collaborateurs, dialogues entre entités… Cette communication authentique valorise l’ensemble des parties prenantes et permet d’instaurer un cycle de communication vertueuse. En termes de reconnaissance d’ambassadeurs, voire de prescripteurs, mais aussi de notoriété dans un secteur donné et d’enrichissement par les réseaux sociaux, la recette semble inimitable.
Nous y croyions dur comme fer avant… Et cet atelier, dans sa présentation comme dans son contenu, a largement permis de conforter une vision socialmedia que nous n’avons de cesse de partager. Pourquoi pas avec vous ? 😉
A en croire la conférence dédiée à la Mêlée numérique 2018 qui se tient cette semaine à Toulouse, il reste du chemin... Après 20 ans de Google et plus de 10 ans de Facebook et Twitter grand public, on aurait pu se dire que l'absence de "stratégie digitale" se retrouverait vite à la marge ; ce n'est pas vraiment le cas et, visiblement, on pourrait sermonner d'un "vous n'avez pas les bases" plus d'acteurs économiques qu'on pourrait l'imaginer.
Le fil conducteur de la Mêlée 2018 reste, cette année encore, la vulgarisation. Si certains ateliers affichent un niveau d'échanges assez pointu, de nombreux événements s'adressent clairement à un grand public ou, du moins, sont formulés pour ne perdre personne en route. A l'instar de l'atelier sur le socialmedia B to B, cette conférence sur "Les trois piliers de la transformation numérique" reprend les fondements ; nulle surprise ici, le titre est assez parlant.
En filigrane, on comprend donc que ces piliers ne sont pas maîtrisés de tous et que de nombreux participants à la Mêlée doivent encore se pencher sur leur transformation numérique, appelée aussi transformation digitale. Pour une agence web social comme la nôtre, évidemment, peu de nouveaux éléments nouveaux à grapiller : Collaborateurs, Clients et Process tiennent votre édifice numérique invariablement et, sur cette structure, les pratiques et déploiements dépendront des objectifs qui vous sont propres. Et si chacun cherche avant tout à améliorer sa notoriété et, un cran au-dessus, son e-réputation, les vertus d'une intervention en ligne réfléchie arrivent rapidement : implication des collaborateurs, meilleurs échanges avec les clients, dématérialisation, économies d'échelle etc.
Dans l'activité directe d'Atchik, nous constatons aussi encore divers degrés de maturité sur les questions de l'engagement en ligne. Cela n'a pas forcément à voir avec la taille, le secteur ou l'historique de la présence en ligne d'un prospect ou d'un client mais les disparités sont réelles. Elles peuvent trouver leur source dans la personnalité des collaborateurs : curieux ? Pas curieux des réseaux sociaux ? Intéressés mais trop occupés pour encadrer le stagiaire en autoformation sur le vaste chantier de la présence en ligne ?
Pour d'autres, le problème est organisationnel : les directions parviennent-elles à une vision commune suffisamment forte pour faire avancer le dossier ? Sont-elles convaincues que les bénéfices économiques sont réels ? N'ont-ils pas besoin de l'entendre d'un tiers ? Sont-ils prêts à s'investir pleinement en interne ou à confier leur présence en ligne à un prestataire externe ?
Le web social donne encore l'impression d'un espace à construire, voire à reconstruire après une bulle socialmedia qui a vu tout le monde aller sur Facebook parce que tout le monde le faisait.
Il est temps, en tout cas, le mieux construire et de parvenir à une présence durable sur des fondements solides. Sans un état des lieux préalable et des préconisations claires, les entreprises risquent de revoir encore un moment des conférences sur les piliers de la transformation numérique.