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Whatsapp, Messenger, Line, Telegram... Sont autant de canaux à ne pas négliger, à tous les niveaux. Si l'on sait que 63% des échanges sociaux se font sur ce dark social, on sait aussi que ces échanges privés, tout aussi viraux qu'impossibles à tracer de l'extérieur, peuvent avoir de lourdes conséquences dans la diffusion de l'information, comme au Brésil lors de la dernière élection présidentielle. Et si, avant d'établir une stratégie socialmedia pour 2020, on commençait par mettre au clair notre définition des réseaux sociaux et de leurs enjeux ?

Allusion au film The Dark Crystal remplacé par The Dark Social

Twitter, Facebook, LinkedIn et Instagram restent bien évidemment incontournables mais la pratique sociale doit-elle se considérer uniquement en public, de manière ouverte, ou bien auprès d'une communauté ou d'un groupe définis ? Si la deuxième option est généralement adoptée par tous, elle implique alors toutes les messageries et tous les échanges privés : c'est le dark social. Un anglicisme, certes, mais suffisamment clair pour évoquer ces échanges qui ne prennent pas la lumière, à l'abri de messages privés et de groupes d'utilisateurs fermés.

Le dark social, un puissant accélérateur d'informations

On l'a dit, Whatsapp a joué un rôle prépondérant dans la présidentielle brésilienne de 2018 mais aussi en Inde ou lors des élections européennes en 2019. A l'instar des chaînes de courriels, les messageries privées ont la capacité de faire circuler rapidement des informations dont la véracité n'interroge pas la plupart des destinataires. Un groupe privé représente, en effet, un lieu d'échange privilégié entre personnes de confiance. Ce phénomène sert de caisse de résonance aux infox (les fake news) et, plus largement, à la propagande politique... Comme l'énonce le rapport du CAPS et de l'IRSEM "Les manipulations de l'information, un défi pour notre démocratie" :

Les applications de messagerie de type WhatsApp et Telegram sont également un des vecteurs utilisés pour les campagnes de manipulation de l’information : à quelques reprises, les fausses informations ont en effet été diffusées via des groupes de discussion rassemblant un nombre très important d’abonnés. Le taux d’équipement mobile étant croissant et élevé, les barrières d’entrée très faibles (inscription et acquisition de l’application gratuites), les applications sont en mesure d’atteindre un fort seuil d’exposition tout en bénéficiant d’une absence totale de modération.

 

Pas réjouissant tout ça... Mais faut-il pour autant jeter la pierre aux messageries privées ? Tout est question d'usage et, au-delà de ces détournements, ces pratiques moins visibles recèlent bien des richesses pour les utilisateurs... Comme pour les entreprises.

Et lorsque l'on déplore l'absence totale de modération, cela ne veut pas dire absence de modérateurs : certes, les messages ne se refusent pas mais, en contact avec ces communautés, il est envisageable d'y répondre, de leur donner suite... Notamment pour le travail de gestion de la relation client (connue sous les acronymes GRC, SAV ou encore CRM).

Réputation et dark social, une filiation claire

Beaucoup d'observateurs de cette deuxième moitié de décennie étaient tentés d'isoler ces phénomènes en statuant que les échanges privés n'avaient que peu d'incidence sur la réputation, par essence publique. C'est, clairement, l'opposé de notre vision car toute information circulant entre personnes à propos d'une tierce partie, en public comme en privé, joue sur la réputation de celle-ci... D'ailleurs, le bouche-à-oreille n'est-il pas le graal des canaux commerciaux ?

Or, un cas client mal résolu dans la messagerie privée du compte social de l'entreprise et le risque de voir la personne se répandre en public augmente considérablement ; d'où la nécessité de ne pas négliger ce premier niveau privé de correspondance. Voici, chez Atchik, comment nous nous représentons ces espaces, leurs interactions et nos services associés :

Le principe de déversoir en e-réputation montre cette porosité entre privé et public :

  • Un cas en privé non résolu ou non identifié est amené à se déverser sur le versant public des réseaux sociaux ;
  • En public, ce cas doit être traité au mieux pour éviter de générer un bad buzz ou, tout au mieux, d'attirer l'attention ;
  • Un mouvement de forte amplitude sur les réseaux sociaux peut se répandre ailleurs, notamment dans la presse... Et se terminer en crise e-réputation.

 

Il convient donc de traiter les problèmes potentiels à la racine. Et outre ce soin nécessaire à apporter aux internautes en demande, le dark social apporte aussi une somme d'informations de premier ordre pour assurer au mieux votre réputation, suivre les évolutions du secteur et, par-dessus tout, rester à l'écoute des internautes et des aspirations des publics.

Steve

Ils sont parmi nous, ils sont dans les campagnes (de publicité), ils sont sur les réseaux sociaux... Ce sont les chatbots, ces "robots" immatériels prêts à interagir avec vous selon des scénarios définis à l'avance. Du jeu-concours par SMS aux réponses sur les réseaux sociaux, ils se sont imposés en une quinzaine d'années comme de précieux assistants. Fiables, prêts à assurer un premier niveau de service client, ils laissent la gestion des cas les plus complexes et les plus qualifiés aux agents humains, qui peuvent ainsi se concentrer sur l'essentiel. Mais tout en renforçant l'aspect qualitatif de l'humain, n'est-il pas temps de confier d'autres missions à ces bots ? Ne devons-nous pas, d'abord, sortir des scénarios que nous nous sommes imposés pour en proposer de plus gratifiants aux robots ? Petit tour d'horizon des évolutions de postes auxquelles prétendent nos agents numériques.

La génération Y le sait, la promesse d'un ami robot a longtemps tenu soit du rêve (Nono, c'était sympa de grandir avec toi), soit de l'objectif scientifique à plus ou moins long terme. Aujourd'hui, machine learning,  langage learning et autres révolutions associées au deep learning rebattent les cartes de l'intelligence artificielle, rendant possible une vraie évolution cognitive des machines et logiciels. Or, si la perspective est alléchante, les opportunités abordables qu'offrent les chatbots de nos jours restent déjà, en l'état, largement sous-évaluées. Sur la simple base d'un paramétrage adapté et de scénarios ingénieux, il y a beaucoup plus de profit à tirer des bots que la simple FAQ dépersonnalisée. Au-delà du guichet numérique, quel rôle conviendrait à merveille à votre chatbot préféré ?

- Le compagnon de jeu

chatbot gamer jeu

Les jeux-concours payants par SMS ont ouvert la voie ; à l'heure de la ludification (ou gamification), certaines agences de communication ont bien compris qu'un jeu adapté pouvait mettre en valeur un produit ou une marque de façon positive, en jouant sur l'expérience utilisateur. Comment ne pas penser à un chatbot pour interagir facilement ?
A l'image de ce que peut proposer Akinator le génie, les jeux de devinettes, les solutions "dont vous êtes le héros" et autres interactions construites en scénarios (charades, choix multiples) rentrent tout à fait dans le périmètre d'intervention d'un bot qui, bien pensé, pourra amuser petits et grands et créer un lien direct à une marque, une cause ou une communauté. A vous de jouer !

- Le communicant de crise

chatbot crise

Autant le chatbot excelle déjà dans la relation client au quotidien, autant on lui confierait moins facilement une communication de crise... Et pourquoi donc ? Au contraire : dans l'urgence d'une situation délicate, avec un gros volume de réponses à apporter à des interactions négatives ou pour éteindre au plus vite un départ de feu, mieux vaut imaginer un paramétrage rapide sur deux ou trois questions-clés, en prenant soin de varier les tournures pour ne pas lasser les internautes.  L'avantage? Eviter de submerger inutilement les chargés de veille et les Community Managers qui sont sur le pont : en délégant le premier niveau de réponse, on permet à l'organisation de gagner en qualité sur les interactions plus sensibles, évitant par là-même un risque d'embrasement. A condition, bien sûr, de laisser la bonne personne paramétrer le bot en fonction des informations à donner.

- L'expert en webmarketing

chatbot marketing

Les mots inbound  et outbound ne cessent de revenir sur vos lèvres ou celles de vos collaborateurs ? A vrai dire, des solutions existent pour ne plus réellement avoir à choisir dans votre recherche de nouveaux clients / prospects / leads / influenceurs / ambassadeurs (liste non exhaustive). Et elles impliquent un bot. Un chatbot ? Pas nécessairement... Car si celui-ci sait répondre sur Twitter par exemple, pourquoi ne pourrait-il pas simplement liker ? Et de là, pourquoi ne pas filtrer parmi les contenus likés pour n'interagir, humainement, qu'avec les twittos qui correspondent le plus à vos recherches ? Encore une fois, la qualité du paramétrage reste ici la donnée essentielle pour une véritable efficacité ; et de la collecte de leads à la curation de contenus, ce bot repensé pourrait bien vous faire gagner un temps précieux (et de nouveaux débouchés). Vous en doutez ? N'hésitez pas à nous contacter 😉

- Le meilleur ami du bureau

chatbot angel

Qui, en entreprise, n'a jamais peiné à retrouver une information que vos collègues ont vaguement retenue ? Si les réseaux sociaux d'entreprise fonctionnent aussi bien, c'est parce que la communication en interne - c'est une évidence - est essentielle... Dès lors, quoi de plus naturel que d'imaginer un chatbot qui répondrait, à l'aide d'une FAQ bien entretenue et mise à jour, aux questions inhérentes à la société et à son fonctionnement quotidien ? Votre collègue, à qui tout le monde pose 15 fois par semaine la même question, appréciera sûrement l'idée.
Des outils comme Slack, qui possèdent déjà une solution intégrée (coucou Slackbot) permettent aussi de développer une solution propre : chez nous, c'est Atchikbot qui répond aux questions de l'équipe en 24/7 et il le fait plutôt bien !

- Le sondeur chevronné

chatbot sondages

Choix multiples ? Collecte d'idées et de suggestions ? De nombreux instituts et entreprises spécialisés dans les questionnaires de satisfactions proposent ces services de manière efficace. Mais sur un sujet précis, isolé, et pour des retours plus immédiats, un chatbot peut, à son échelle, apporter satisfaction et vous faire part d'expériences clients précieuses dans l'ajustement de votre offre ? Là encore, tout est question de paramétrage !
Bien évidemment, ces cinq postes impliquent en eux-mêmes des évolutions mais, couplés à un travail de qualité de chargés de veille, de community managers ou de gestionnaires de contenu, ils offrent déjà de belles perspectives de développement dans une stratégie globale de présence en ligne. Si ça vous botte, il n'y a plus qu'à se lancer !
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