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A peine les mesures sanitaires levées pour l'été, le variant Delta, qui progresse dans toute l'Europe, menace déjà la saison... Il n'en fallait pas plus pour relancer les complotistes en tous genres, énième version dans l'Histoire du "je ne sais rien mais je dirai tout". Alors que #NousSachons a aidé beaucoup d'entre nous à traverser cette période de pandémie avec un peu de légèreté, #NousSavons est considérablement venu gâcher la fête ces derniers temps... Et ce n'est pas fini. Explications.
 


 

C'est historique : le 7 juillet, le dièse #NousSavons a pour la première fois dépassé #NousSachons. C'est peut-être un détail pour vous mais pour de nombreux observateurs, amateurs d'humour, debunkers et factckeckers en tous genres, cela veut dire beaucoup :
 

Courbe visibrain atchik #noussachons #noussavons juillet

Réalisé avec Visibrain

 

Avec un pic à 100 000 tweets sur la seule journée du 5 juillet contre quelques centaines tout au plus auparavant, le hashtag #NousSavons a atteint un niveau historique... Et imprévu. L'origine de ce mouvement ? Il semblerait que tout parte d'un tweet de JBAragon, 12K abonnés, farouchement anti-vaccination, dans lequel l'auteur s'attaque un peu à tout en même temps :


 

Depuis lors, les usages de #NousSavons ont trouvé une nouvelle place dans le paysage d'expression de Twitter. D'accord, nous direz-vous... Mais alors, pourquoi est-ce à la fois ironique et significatif ?
 

Une bascule des forces en présence

Quelques jours avant l'allocation d'Emmanuel Macron rendant la vaccination obligatoire pour les soignants et annonçant un futur pass sanitaire, c'est peu de dire que ce type de mouvements contribue à savonner la planche de l'effort vaccinal. Si les rumeurs, fake news et autres complots agitent la toile - et le monde entier tous les jours, avec ou sans internet - depuis le début de la crise sanitaire, l'effort de rationalisation et de remise au centre du discours scientifique a jusqu'ici fait l'objet d'un relais citoyen efficace.

L'un des symboles de ces garde-fous, porté par le compte Complots faciles pour briller en société, reste l'usage du mot-dièse #NousSachons dans un tweet ironique, faussement complotiste. D'ailleurs, le compte Twitter de Debunker des Etoiles, fervent défenseur de l'esprit scientifique et chasseur de fake news sur Youtube, a rapidement lié les deux hashtags, comme les deux visages d'un même Janus. Propos délirants d'un côté, propos délirants pour dénoncer leur absurdité de l'autre :
 


 

On l'a bien compris, #NousSachons se veut une parodie des gens qui "sachent", ou plutôt qui croient (croivent ?) savoir. Ce qui n'était pas prévu, c'est qu'un mot d'ordre totalement premier degré vienne effacer cette subtilité originelle, sans aucun recul, devenant ainsi la parodie de sa parodie...

➡ Pour creuser le sujet, vous pouvez retrouver notre explication et la conversation associée sur LinkedIn.
 

La bascule, elle, s'opère à partir du moment où #NousSavons devient plus gros que #NousSachons, dès le 4 juillet. Auparavant, le rapport de force se maintenait sans comparaison :
 

Courbe avant le 4 juillet montrant la prédominance de #NousSachons sur Twitter
 

... Après le pic des 4-5 juillet, reproduit plus haut, nous constatons une nette inversion.
 

Bascule après le 8 juillet avec #NousSavons dominant par rapport à #NousSavons sur Twitter
 

Quelle teneur dans les conversations en ligne ?

Depuis lors, les messages à caractère complotiste ont vécu une certaine libération de la parole. Le dièse #NousSavons agit comme un ralliement, permettant la diffusion de plusieurs autres mots d'ordre plus contextuels comme, ce jeudi 15 juillet, "#passedelahonte" (sic) :
 

exemples tweets #passedelahonte #passdelahonte #noussavons
 

En clair, alors même qu'entrent en collision, au cœur de l'été, le pass sanitaire, la vaccination obligatoire pour le personnel soignant et d'autres éventuelles catégories mais aussi l'inexpugnable montée en puissance du variant delta et la perspective d'une troisième dose de vaccin Pfizer, il apparaît clair que la période s'avère propice à de nouvelles incertitudes... Et à de nombreux fantasmes quant au but de la campagne vaccinale. Aux portes de la campagne électorale pour la prochaine élection présidentielle, le sujet reste à surveiller de près : un travail de fond qui concerne en premier lieu les chargés de veille, les analystes... Mais aussi les modérateurs.
 

Steve

 

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On parle souvent de "jungle des internets" car oui, il est difficile de s'y retrouver. Alors, comment en suivre l'actualité en tant que professionnel ou simple curieux ? On vous a préparé une petite sélection de newsletters, lettres d'information ou infolettres - selon votre exigence linguistique - incontournables pour suivre, en français, l'actualité du numérique (digital) et des médias sociaux sous divers angles. De quoi vous assurer une veille professionnelle efficace et agréable dans votre boîte aux lettres 😉

miniature illustration actu du numérique meilleures newsletters francophones

Actualité des plateformes, des dernières technologies, des tendances... Ou mise à jour en matière d'opinion, de communication numérique, de phénomènes en ligne ? Sans compter les dernières pratiques du "digital", de la modération au webmarketing en passant par le community management et les diverses formes de veille... Le numérique évolue à une allure telle qu'il faut s'assurer, à chaque instant, d'en suivre les nouveautés. Sans tomber dans la saturation, cette fameuse infobésité.

Pas de panique : en quelques abonnements à des newsletters bien choisies, il vous est possible de raccrocher les wagons sans quitter votre boîte mail, quitte à creuser par vous-mêmes plus spécifiquement par la suite ! Voici notre petite sélection du moment.

 

L'Hebdo du web social

Vous ne nous en voudrez pas de commencer par nous 😇

Une newsletter qui résume chaque semaine toute l'actualité des conversations en ligne, des réseaux sociaux et des phénomènes issus du web social ? Telle est la ligne directrice de L'Hebdo du web social. Concoctée par le pôle veille et conseil d'Atchik, notre lettre d'information retranscrit ce qui transite par les médias sociaux, à différentes échelles.

L'Hebdo du web social, chaque semaine.

 

Sur les internets

Les formats innovants et créatifs pour communiquer en ligne, Kéliane Martenon les observe et les pratique depuis plusieurs années. Et pour cause : rompue à la communication politique, elle suit et analyse avec précision les tendances, esthétiques comme de fond, de la diffusion de messages. Sa lettre d'information Sur les internets s'affiche aujourd'hui comme une référence du suivi des usages sur le web social et au-delà.

Sur les Internets, toutes les deux semaines.

 

WHATSUP

"La newsletter mensuelle des professionnels de la com' digitale" est signée Visibrain. L'outil de veille sur les réseaux sociaux, aux premières loges de l'observation des phénomènes en ligne et des variations de volume, livre ici chaque mois les observations liées à ces fluctuations et aux réactions en ligne à l'actualité brûlante.

WHATSUP, chaque mois.

 

Tech Trash

C'est notre petit bonbon des internets. Réconfortant, sucré mais aussi très acide, voire piquant. Car Tech Trash, lettre d'information de passionnés du secteur, passe au crible le meilleur et (surtout) le pire de la start-up nation, de la tech et des usages en ligne... Avec, au final, de vraies pistes de réflexion pour la suite. D'ailleurs, la même équipe a monté Climax, centrée sur les enjeux environnementaux, avec la même ferveur et la même rigueur. On ne saurait que trop vous conseiller de les lire, voire de les appuyer.

Tech Trash, chaque semaine.

 

Scroll

La belle infolettre partagée chaque mois par l'équipe de Human to Human (groupe Hopscotch) permet de mieux comprendre le web social. En analysant des phénomènes, en creusant autour de faits ou d'annonces, elle apporte un éclairage bienvenu pour appréhender l'évolution du numérique et de nos échanges en ligne, avec une profondeur et une longueur de contenu appréciables. Une incontournable !

Scroll, chaque mois.

 

Et pour aller plus loin...

Il y a La French Stack, bien sûr !

Chacun aura bien noté la petit allusion à La French Tech dans le nom. Pourtant, le champ dépasse largement celui du numérique dans cette liste qui regroupe, tout simplement, différentes infolettres toutes plus recommandables les unes que les autres... Une curiosité à satisfaire ? C'est ici que ça se passe 🤩

 

Et vous, quels sont vos coups de coeur ? N'hésitez pas à nous recommander vos NL préférées en commentaires.

Steve

 

Bouton renvoyant vers le post LinkedIn d'Atchik sur les meilleures newsletters francophones du numérique

 

L'activité de modération des commentaires sur les réseaux sociaux et autres espaces du web social paraît simple : traiter les conversations en ligne pour retirer les contenus à risque et mettre en valeur ceux qui le méritent. Pourtant, ce service en apparence si limpide englobe diverses réalités. Et parmi celles-ci, le secteur, le type d'activité de l'espace à modérer, changent la donne. Ainsi, une entreprise de modération comme Atchik, spécialiste des conversations en ligne, intervient-elle de la même manière dans les espaces de commentaires d'un média, d'une entreprise, d'une ONG ou d'une institution ? La réponse est bien évidemment non : reste à voir, ensemble, quelles différences conduisent à penser sur mesure ces interventions.

 

Derrière l'activité de modération se cache une grande diversité de situations. Un "modérateur Facebook" par exemple, tel que décrit par le sociologue Antonio Casilli, ne fera pas la même chose, et encore moins dans les mêmes conditions, que l'un de nos modérateurs. Ce dernier intervient bien sur Facebook mais uniquement sur les pages de nos clients, selon la charte de modération en vigueur sur la page et non les conditions propres à Facebook. Et il en va de même pour Instagram, Twitch, Youtube, LinkedIn, Twitter et tous les espaces de discussion administrés par ce client, des réseaux sociaux aux commentaires et avis en ligne sur son propre site web.

Il s'agit donc, pour une société de modération comme la nôtre, d'intervenir au nom de nos clients, sur leurs espaces sociaux. Jusqu'ici, tout est clair. Or, modérer les commentaires d'une page institutionnelle ne revêt pas les mêmes enjeux que la modération pour les médias, par exemple. Et c'est précisément là que l'expertise de nos spécialistes des conversations en ligne s'avère décisive, afin de valoriser au mieux les différentes contributions.

 

Modérer pour des annonceurs : en première ligne de la relation client

La réalité des "annonceurs" dépend très fortement du secteur, de la taille de l'entreprise, du modèle économique ou encore de la cible d'audience. Dans le domaine de la santé ou de l'agro-alimentaire, par exemple, les formes de discussions, la nature des commentaires sont nécessairement appelées à différer.

Toutefois, par rapport à des médias, des personnalités ou des institutions, certaines distinctions opèrent, à commencer par le type d'interaction.

Dans la très grande majorité des cas, les contenus portés par des annonceurs sur les réseaux sociaux possèdent une dimension publicitaire ou, plus largement encore, promotionnelle. Les interactions à traiter proviennent ainsi en grande majorité de consommateurs, potentiels ou avérés. C'est là une première distinction qui, nécessairement, induit de devoir appréhender des avis clients, des retours d'expérience et des commentaires à traiter dans une logique de SAV.

Miniature de l'article "Avis clients : 5 conseils pour les appréhe... by Steve Bonet Steve BonetYesterday 16:11 "Avis clients : 5 conseils pour les appréhender"

 

Des enjeux forts de community management conversationnel

Dès lors, la modération ne peut pas simplement jouer un rôle de filtre pour écarter les commentaires indésirables. Elle doit, pour être profitable :

  • Ecouter les différentes communautés, quel que soit le volume de conversations, pour en comprendre les mécanismes et agir efficacement ;
  • Analyser et détecter les contenus dignes d'intérêt tels que des retours d'expérience pour les valoriser et en tirer des enseignements stratégiques ;
  • Traiter (community management conversationnel) en y répondant ou rediriger les cas clients vers le bon service.

La modération, pour les annonceurs, reste ainsi très solidaire du reste de l'activité de community management conversationnel. C'est, en l'état actuel, un élément différenciant d'une intervention pour les médias par exemple.

 

La modération pour les médias : un service en trois dimensions

Bien sûr, un média a tout intérêt à interagir avec ses communautés, c'est-à-dire ses lecteurs. Toutefois, avec des volumes de conversations souvent très importants, il est impossible de prendre part à toutes les discussions. La part de la modération reste ainsi bien plus importante que les autres activités de CM conversationnel, de la gestion de la relation client (les abonnés) à l'animation de communautés, par des réponses comme des likes ou mentions d'internautes.

Retrouvez ici notre livre blanc consacré à la valorisation des commentaires pour les médias.

Le volume de commentaires distingue donc, déjà, la modération pour les médias. Aujourd'hui, le rythme de publication de posts par un média sur les réseaux sociaux (souvent toutes les 15mn sur Facebook, encore plus sur Twitter) induit forcément de hauts volumes de commentaires, sur différents sujets.

Ce point dévoile une différence fondamentale : contrairement à un annonceur qui, lui, témoigne quasi-uniquement de son secteur d'activité, un média va partager tous ses articles. Et à chaque rubrique son thème, sa communauté de lecteurs, son langage... Et son degré de haine en ligne.

 

Dans les commentaires, cinquante nuances de presse

Le média, dans la modération de ses commentaires, est en proie à une triple réalité :

  • Les retours d'expérience de ses propres clients : les lecteurs ;
  • Les retours sur le sujet abordé dans chaque article (qu'il soit lu ou non - c'est une autre histoire) ;
  • Sa propre action de caisse de résonance, qui va attirer de nombreux groupes d'action ou personnes voulant de faire entendre.

La modération va donc s'avérer incontournable pour démêler les lignes de force à l'oeuvre dans les espaces de commentaires, véritables terrains stratégiques... Surtout à l'approche d'échéances électorales.

➡ Retrouvez notre article consacré à la modération de commentaires pour les médias.

Dans un deuxième temps, elle va aussi impliquer de vrais retours d'expérience sur la réception des sujets, les attentes des lecteurs ou les besoins d'éclaircissement. Elle va jouer un rôle de médiation avec la rédaction, impliquant de signaler divers contenus. Les témoignages dignes d'intérêt ou les signalements de "coquilles" disposent dès lors d'une grande valeur.

Enfin, la modération se doit de signaler tout problème de type "SAV" sur des questions d'abonnement, de réception de fréquence ou autre accès au service, afin de garantir la meilleure "expérience client".

modération France Médias Monde miniature

 

➡ Retrouvez ici un cas concret de modération à forte valeur ajoutée avec notre intervention pour France Médias Monde.

 

Les institutions, une dimension citoyenne inévitable

Si les médias agissent comme une caisse de rénonance pour faire entendre certaines causes ou idées politiques, que dire des pages d'intitutions ? Du rôle de la fonction publique aux grands mouvements de société, de nombreuses pages institutionnelles se font en permanence le réceptacle de revendications.

Or, le rôle premier de ces pages est d'informer le grand public sur les grandes actions menées. Il est aussi d'aiguiller les citoyens dans leurs démarches et de les tenir au courant de la vie institutionnelle et sociétale. Justement, n'y aurait-il pas plusieurs types de pages institutionnelles ?

On peut en distinguer deux, qui vont conduire à des pratiques différentes :

  • Les institutions avec une logique de "guichet" telles que la CNAM et les CPAM ou des services préfectoraux, avec cette dimension de réponse à des cas concrets ;
  • Les institutions plus régaliennes, devant permettre à la fois d'informer sur l'action publique mais également de recueillir des doléances sans nécessairement interagir ou répondre à chaque message.

Dans certains cas, comme celui d'un ministère, les deux aspects se trouveront indissociables. Cette réalité ressort parfaitement des expériences décrites par le responsable de la communication numérique du ministère des Sports par exemple.

Un besoin constant de réactivité

Ensuite, selon l'actualité, ces pages peuvent connaître de très fortes variations de volumes. Il s'agit d'un point à ne pas négliger pour appréhender au mieux la modération de ces espaces et la sécurité des internautes.

Enfin, pour ne citer qu'un dernier point parmi tant d'autres, la vigilance vis-à-vis de contenus haineux reste de mise. Tout message représentant une menace ou un péril imminent se doit ainsi de faire l'objet d'une procédure adaptée.


En clair, diverses notions s'imbriquent pour donner lieu à des réalités d'intervention en modération bien distinctes. Un même individu peut être à la fois lecteur, spectateur, citoyen et consommateur... Et ces différentes facettes immpliquent un service de modération à la hauteur. Car au-delà des outils de modération ou des systèmes permettant une automatisation des tâches, c'est bien l'expertise humaine qui permet de tirer intelligemment et durablement toute la valeur des interactions du web social.

 

Bouton renvoyant vers le post LinkedIn d'Atchik sur la modération des médias, institutions et annonceurs sur les réseaux sociaux

Comment tirer le meilleur des conversations en ligne ? Pour les médias, l'enjeu est de taille, notamment pour exploiter les nombreux témoignages qui parviennent en commentaires. Notre retour chiffré sur la modération opérée au premier trimestre 2021 pour France Médias Monde éclaire sur les possibilités.

Les conversations en ligne prennent une part toujours plus importante dans l'animation du web social. En 2020, l'activité d'Atchik a ainsi augmenté de 40%. Dans leur étude auprès de mille professionnels de la communication et du marketing, Talkwalker et Trustpilot rapportent également que "82% des participants estiment que la pandémie a bouleversé leur perception des conversations des consommateurs". Avant même d'engager la conversation dans les commentaires sur les réseaux sociaux, ce qui s'avère déterminant, la qualité de l'activité de modération va permettre de rendre toute leur valeur, tout leur intérêt aux espaces de discussion... Mais aussi de détecter tous les contenus de valeur.

La modération de France Médias Monde : 7/7J et en quatre langues

Prenons le cas de France Médias Monde, groupe chargé de l'audiovisuel international français, pour qui nous assurons la modération sur les réseaux sociaux. RFI et France 24 par exemple font partie de France Médias Monde. Ces canaux, en plusieurs langues et sur divers réseaux sociaux, représentent des volumes considérables de messages qui parviennent de toute la francophonie et, au-delà, du monde entier.

Comment, dès lors, faire face tout en assurant une qualité de service à tout instant ? Nos équipes, en s'appuyant sur une solution logicielle propriétaire :

🟢 Ecoutent, analysent et traitent chaque jour des milliers de contenus...
🟢 En tirent de précieuses informations, restituées aux rédactions de FRANCE 24 et RFI - Radio France Internationale.

Découvrez ci-dessous notre rapport chiffré portant sur l'activité des trois premiers mois de l'année 2021 :

Et pour aller plus loin : retrouvez notre livre blanc consacré à la valorisation des espaces de discussion des médias.

 

Bouton qui renvoie vers l'étude de cas de France Medias Monde par Atchik

 

Comment bien gérer ses avis clients ? Véritables thermomètres de la réputation de votre marque ou d'un produit, moteurs du SEO, ils constituent un pilier essentiel du web social. Mais pour en faire de vrais atouts, encore faut-il bien les aborder ! De Trip Advisor à Trustpilot en passant par Amazon et Google My Business, voici quelques incontournables de la valorisation des avis en ligne.

Miniature de l'article "Avis clients : 5 conseils pour les appréhe... by Steve Bonet Steve BonetYesterday 16:11 "Avis clients : 5 conseils pour les appréhender"

 

Commençons par une évidence :
Avoir des avis en ligne sur sa marque, ses produits ou ses services, c'est bien ; en avoir des bons, c'est mieux !

Pourtant, beaucoup d'erreurs peuvent venir de décisions trop peu réfléchies à partir de ce constat, justement... Et nous allons voir pourquoi, au fil des quelques conseils distillés ici.

 

#1 - Bien choisir ses plateformes d'avis en ligne 🛒

On l'a dit plus haut : les avis clients, c'est bien... Mais peut-être pas partout non plus ! Si chacun laisse des avis aux quatre coins du web, il vous sera difficile de les suivre et d'y répondre, d'où l'intérêt de bien choisir vos priorités selon vos capacités de suivi et vos ambitions.

Votre site doit-il obligatoirement héberger des avis en ligne ? Tout dépend de votre activité mais si vous vendez sur des plateformes comme Amazon ou CDiscount par exemple, cela peut faire double emploi. A l'inverse, si votre activité est directement liée à des prestations sur votre site, comme c'est le cas pour Engie, dont nous traitons les avis, mieux vaut disposer d'une plateforme intégrée à votre site web.

Par ailleurs, Google My Business, s'avère un bon point de départ pour son activité si celle-ci possède un ancrage géographique, comme dans les services ou le commerce.

 

#2 - Mettre en place une modération d'avis équilibrée ⚖

En d'autres termes : ne pas supprimer les critiques.

On peut être tenté, surtout sur son propre site, de ne laisser visibles que les avis positifs... C'est une erreur, car personne n'est vraiment dupe. Et au final, un espace qui laisse la place aux critiques s'avère bien plus rassurant et digne de confiance.

Il convient donc de mettre en place un système de modération à la fois réactif, bienveillant mais aussi objectif, qui énonce clairement dès l'entrée les conditions de publication d'un avis client. Parmi les règles élémentaires, nous conseillons notamment de refuser le hors-sujet, de limiter les insultes et le langage grossier et de ne pas permettre la diffamation. Cela implique que le consommateur doit pouvoir fournir une preuve d'achat à la demande... Sans quoi n'importe qui pourrait venir raconter n'importe quoi.

 

#3 - Remettre en question les avis Facebook 👁‍🗨

Certes, Facebook met à disposition un onglet "Avis" pour les pages, activé par défaut... Mais il est impossible d'y supprimer un avis. Et comme nous l'avons vu juste au-dessus, il faut éviter les contenus calomnieux voire diffamatoires.

Or, si l'on ne peut pas supprimer un avis laissé par une personne mal intentionnée, voire un concurrent déloyal, quel recours reste-t-il ? Répondre, bien entendu, mais Facebook ne permet pas suffisamment de maîtrise dans la gestion des avis pour en faire un point fort. Mieux vaut donc désactiver les avis Facebook et concentrer les retours d'expériences de vos clients là où il comptent vraiment.

 

#4 - Bien répondre aux avis qui le méritent 💬

Ne l'oublions pas, le community management conversationnel implique aussi les réponses aux avis clients ! Si un retour consommateur peut, à travers un avis, trouver une solution, vous devez pouvoir lui apporter. Si un avis en ligne montre une vraie satisfaction, vous devez aussi accueillir ce retour d'expérience client comme il se doit.

Dans tous les cas, la réactivité de votre relation client témoignera d'une vraie prise en compte et d'un vrai soin de vos services en matière d'expérience client et de qualité. C'est là un point important de votre présence en ligne. Et, donc, de votre e-réputation.

 

#5 - Ecouter ce que vos clients ont à vous dire 💌

Tous ces avis, tous ces retours d'expérience... méritent un soin particulier. Car ils sont autant d'enseignements précieux non seulement pour améliorer votre service client mais aussi pour répondre aux besoins naissants et imaginer vos offres de demain. Cette veille sur les avis clients, c'est déjà de la prospective pour votre marché.

Et pour aller encore plus loin, les comparaisons avec certains de vos concurrents dans les avis ou le champ lexical, le registre de langage employés et autres indicateurs fins vous ouvrent de nouvelles portes. Celles d'une connaissance très fine de vos clients, de leurs attentes et de la meilleure manière de s'adresser à eux. Cet effort de veille vous permet d'améliorer l'ensemble de votre community management, de la création de contenu au CM conversationnel.

 

Une fois ces points évoqués, encore faut-il disposer de moyens de suivi et de traitement à la hauteur des enjeux. N'hésitez pas à revenir vers nous, nos équipes se feront un plaisir de vous renseigner sur un dispositif de community management conversationnel adapté.

Steve

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S'il y a bien un intitulé qui regroupe des réalités diverses, c'est celui de community manager. Et parmi les spécialisations, le community management conversationnel (ou CM conversationnel) fait appel à diverses compétences pour répondre et interagir avec les internautes... Mais se développe aussi selon les réseaux sociaux et leurs nouveautés ! Quoi de neuf chez Facebook, Twitter et consorts ? On fait le point sur tous ces petits éléments qui changent la gestion des conversations en ligne.

Si l'on parle beaucoup de Twitch ou de Clubhouse en ce début d'année, il ne faudrait pas oublier le flot impressionnant de nouveautés déployées par chaque réseau social historique... Qui tient à garder son avantage ou à récupérer rapidement les meilleures fonctionnalités des petits nouveaux. Twitter, Telegram ou Facebook se lancent ainsi à l'assaut de Clubhouse en annonçant leurs rooms audio.

Mais ce qui nous intéresse ici, c'est l'interaction avec les communautés, la gestion des réponses, la relation client en ligne, l'animation au plus près des commentaires : bref, tout ce qui compose le community management conversationnel. Moins spectaculaires, ces changements n'en sont pas moins cruciaux pour fidéliser des abonnés, rassurer des clients ou apporter les meilleures réponses possibles à son audience. Plongeon dans les dernières annonces.

 

Twitter

Les réactions avec emojis arrivent dans les tweets

On les avait vues arriver dans les messages privés Twitter, c'est désormais en public que les réactions "étendues" s'apprêtent à diversifier la palette d'interactions possibles.

Une révolution ? Pas tellement, puisque Facebook ou LinkedIn permettent une gamme d'émotions et de nuances pour étendre le simple like apporté à un post. Twitter, qui a popularisé le hashtag ou le like à ses débuts, rattrape ici une fonction devenue standard dans le web social.

Cela permet, en tout cas, d'imaginer de nouvelles manières d'appréhender une réponse à un tweet, et donc de pratiquer son community management conversationnel.

Annuler son tweet... Sera bientôt possible

Une petite erreur ? Un regret ? Une coquille ? Qui n'a jamais regretté l'envoi d'un tweet dans les secondes qui suivent ? Tourner 7 fois son tweet avant de le rendre public, c'est un peu ce que préparerait Twitter ici.

Quelle différence, alors, avec la fonction "supprimer ?"
Le tweet que vous "rappelez" n'a, officiellement, jamais existé... Contrairement à celui que vous supprimez dès sa parution. Un détail qui peut paraître anodin, certes, mais qui fait une énorme différence lorsque l'on gère un compte influent. Chaque chargé de veille ou analyste de données le sait également  : les outils de veille peuvent récolter tous les tweets, même avec quelques secondes d'existence. Pouvoir annuler son envoi de tweet permet donc de ne réellement laisser aucune trace.

Et ça... Le compte officiel de l'US Strategic Command en aurait bien eu besoin cette semaine 🙂

Evidemment, dans le cas d'une réponse à un client, cette fonctionnalité éviterait également que la personne reçoive une notification si l'on décide d'annuler l'envoi. De quoi, certainement, éviter certaines situations désagréables.

Besoin d'étoffer votre présence ? Découvrez nos solutions de community management conversationnel.

 

Facebook

On a vu Twitter rattraper Facebook sur les réactions en emojis... C'est désormais à Facebook d'emboîter le pas de Twitter sur une fonctionnalité de gestion d'audience. Depuis quelques temps en effet, Facebook permet de contrôler qui peut commenter ses publications publiques.

L'intérêt ? Eviter, par exemple, une trop grande charge de commentaires en modération pour certains posts sensibles ou, au contraire, promis à un grand succès. Et plus stratégiquement encore, ce contrôle pourrait permettre d'inciter à l'abonnement à une page pour pouvoir participer à un jeu-concours par exemple. Bref, derrière cette option, c'est une vraie mécanique de community management qui se dévoile.

 

 

TikTok

Quoi de neuf sur l'un des réseaux les plus jeunes ? Là encore, une variation de ce qui peut se faire ailleurs, comme sur Instagram par exemple. TikTok déploie ainsi une fonctionnalité de questions/réponses pour faciliter les conversations en ligne avec les abonnés à un compte.

Mais attention, il y a tout de même de vraies innovations ici. Par exemple, la possibilité pour les utilisateurs de manifester leurs interrogations dans les vidéos. En appuyant tout simplement sur une nouvelle icône en forme de message avec à l’intérieur un point d’interrogation, l'élément ressortira en tant que tel.

Pour l'administrateur de compte ou, plus largement, le community manager, cela s'avère très précieux pour repérer rapidement les véritables questions et, ainsi, donner la priorité à ces éléments. De quoi, au passage, en faciliter aussi le suivi et, pourquoi pas, l'intégration à divers outils de CRM.

 


En clair, chaque semaine ou presque apporte son lot de nouveautés et, si le coeur même de la mission de community management conversationnel reste le même, la manière de le pratiquer ou de le scénariser selon les espaces d'intervention varie considérablement... D'où l'intérêt de choisir la bonne intervention.

Steve

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