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Twitter serait en train de tester sur des groupes d’utilisateurs une nouvelle fonctionnalité qui donnerait plus de contrôle sur les conversations des membres de la plateforme.

Nous en parlions il y a quelques semaines, Twitter semblerait vouloir “réinventer” la manière dont les internautes tweetent. C’est en tout cas ce qu’a remarqué Jane Manchun Wong, que nous suivons depuis des années (et nous vous invitons à en faire de même). Connue pour identifier des fonctionnalités cachées et des vulnérabilités de sécurité sur les réseaux sociaux et applications, elle a mis à jour ces tests sur la plateforme :

 

 

Choisir qui peut répondre à un tweet

Twitter testerait donc trois fonctionnalités en une pour permettre d’ouvrir à une discussion :

  • Ouvert” : tous les internautes pourront répondre au tweet.
  • Communauté” : seuls les comptes suivis par l'auteur auront la possibilité de répondre au tweet.
  • Par invitation” : seuls les comptes mentionnés dans un tweet y répondre.

Ces trois choix seront proposés lors de la création d’un tweet, un peu comme lorsqu’on publie sur Facebook où il est possible de choisir qui peut voir sa publication.

 

Et les comptes privés alors ?

Rien n’a été annoncé côté Twitter concernant les comptes privés. Pour rappel, un compte privé sur Twitter restreint la visibilité de tous les tweets, retweets et réponses aux personnes qui suivent un compte. La nouvelle fonctionnalité serait, ainsi, plutôt destinée aux comptes publics et permettrait donc de tweeter un jour pour la terre entière, et l’autre pour une poignée de personnes. Plutôt avantageux pour les indécis.

 

Des échanges revalorisés

Twitter l’a bien compris, les conversations sur sa plateforme ne sont pas sans valeur. C’est LE réseau social par excellence pour donner son opinion et débattre sur un sujet, les marques intègrent aussi Twitter dans leur stratégie de communication notamment pour la gestion de la relation client. Mauvaise nouvelle donc pour les trolls, qui ne pourront plus intervenir n’importe où ! 😉

 


Valentin Grenier, Chef de projet

Valentin Grenier

Chef de projet "Présence en ligne"

Les requêtes booléennes sur Twitter sont bien connues par les chargés de veille. Riches d'opérateurs et de combinaisons, c'est grâce à ces dernières que l'on peut filtrer une multitude de tweets en demandant à Twitter de rechercher uniquement les tweets basés sur des critères précis. Pour l'occasion, nous nous sommes mis au goût du jour, en mettant le mondial de rugby à l'honneur ! 🏉🏆

 


Les requêtes booléennes basiques sur Twitter
 

 

Et voilà ! Vous avez été promu capitaine du XV des requêtes booléennes. Félicitations ! 🏆

Si certains aspects des requêtes booléennes sur Twitter sont encore flous, vous pouvez bien entendu nous contacter et c'est avec plaisir que nous en discuterons ensemble ! 😉

 

Valentin

 

Lecteurs d’articles de presse en ligne, contributeurs de forum, nous avons tous fait l’expérience de ce message d’alerte qui apparaît à côté des commentaires : « signaler un abus » ou de cet avertissement : « Les commentaires seront publiés dans leur intégralité ou supprimés s'ils sont jugés non conformes à la charte » mais qu’est-ce qui se passe derrière cela exactement, comment fonctionne la modération ? Quels en sont les enjeux à l’heure d’une société hyper connectée, hyper informée voire désinformée ? Souvent taxée de censure, elle est de plus en plus invoquée comme une nécessité. Nous allons voir qu’au-delà d’être un garde-fou nécessaire pour garantir la liberté d’expression dans de bonnes conditions, elle peut être un véritable outil de maîtrise de son contenu pour un média... Décryptage.

 

La modération : pas si simple

Concrètement, la modération est le fait de contrôler les commentaires laissés par les internautes sur les sites web, réseaux sociaux, blogs ou forums pour ne pas laisser les messages à caractère illicite (racistes, diffamatoires) ou hors-charte (une charte de bonne conduite établie par le propriétaire de la page pour préciser les règles de bienséance de son espace : exit insultes, vulgarité, usage abusif de majuscules par exemple). Tout média laissant un espace de discussion est confronté à des comportements abusifs, à l’existence de trolls aussi dont le but même est d’empêcher tout débat. La modération a pour but de rendre possible l’expression de toutes les opinions dans un espace serein. Par son rôle de régulation elle doit uniquement empêcher ce qui va à l’encontre de cette liberté, des lois et de la bienséance fixée par le responsable de l’espace de commentaires. Comment s’opère-t-elle ?

La modération est effectuée par une personne ou par une machine, i.e. un système de modération automatisé suivant un algorithme prenant en compte les règles préalablement formulées. Les modérateurs ne pourraient en aucun cas être exclusivement remplacés par des filtres et des machines. En effet, il est difficile pour une machine de saisir l’ironie, ou bien de saisir la portée d’une référence utilisée par l’internaute. Le filtre permet de saisir un mot ou expression mais le même mot dans deux contextes différents n’aura pas la même portée. De l’intérêt d’un modérateur cultivé et averti !

 

 

Rentrons désormais dans le vif du sujet : il existe trois types de modération et nous allons voir pourquoi. La modération peut être effectuée avant et/ou après que le message ait été posté par l’internaute : a priori, a posteriori et sur alertes :

  • A priori : les commentaires ne sont pas en ligne tant qu'une décision n'a pas été appliquée par le modérateur.
  • A posteriori : lorsqu'un utilisateur poste, il voit directement sa contribution en ligne. Le modérateur, après contrôle, peut cependant la masquer.
  • Sur alertes : les messages ont tous été publiés et acceptés par défaut mais si un utilisateur repère du contenu problématique, il peut le signaler au modérateur qui prendra une décision.

On voit aisément l’intérêt de ces différents modes opératoires : si toute la modération se faisait en a priori, il n’y aurait pas de fluidité du débat. Chacun devrait attendre la décision du modérateur avant de voir son message apparaître : de l’intérêt d’un filtrage le plus fin et rapide possible des contributions sur l’espace par un algorithme pour que la modération a priori soit consacrée aux seuls messages qui après filtrage auront été jugés sensibles. Par exemple, un terme comme le burkini aujourd’hui devra être automatiquement repéré pour réserver le message à la main experte du modérateur pour traiter du sens du message entier. Le modérateur humain devrait se consacrer à l’essentiel et pas ne perdre son temps sur des messages anodins. Le live d’une personne célèbre sur Facebook peut générer des milliers de messages du type : bonjour !... On mesure la perte de temps…

Si votre commentaire est en attente de modération, nous l’avons vu, il s’agit d’un traitement  en a priori. La particularité d’Atchik est d’avoir panaché ce type de modération pour proposer un filtrage plus fin et performant aux intérêts multiples : c’est ce qu’on appelle la modération augmentée.

 

La modération augmentée : la prise en compte des commentaires

Sur un même article, on l’a vu, il peut y avoir de l’a priori et de l’a posteriori pour permettre la fluidité du débat. Mais un filtrage classique permettra seulement de filtrer des expressions ou des mots-clés et va se contenter de proposer le refus simple du mot ou de l’expression incriminés.

La modération augmentée repose sur la création de plusieurs types de filtres constamment mis à jour grâce à la l’analyse en direct des messages opérée par le modérateur. Seule une bonne connaissance des communautés géographiques, culturelles, ou spécialisée sur un sujet permettra d’élaborer des dictionnaires lexicaux difficilement appréhendés par un robot ou un non-initié. Le modérateur est ici aussi un veilleur. Les filtres prennent en compte chaque client pour suivre leur spécificité, par exemple les mots ou expressions relatives à un domaine spécialisé, tel que la course hippique ou le football… mais aussi les coutumes langagières renouvelées. Et sur le fond, une réactivité sans faille sur tout sujet porteur de risque. La modération augmentée fait donc appel à l'intelligence humaine et à une mise à jour quotidienne des filtres et dictionnaires.

Imaginez une cascade de commentaires, notre système les fait passer par différents tamis successifs. A chaque niveau, différents filtres et dictionnaires sont mobilisés par l’algorithme pour déterminer le type de modération le plus adapté à chacun, ainsi que ce qui peut être accepté ou refusé automatiquement sans souci. Le message est ainsi décortiqué au maximum mobilisant une multitude de dictionnaires et filtres généraux mais aussi spécifiques qui permettent de définir une politique de routage des objets de A à Z : déterminer ainsi à quel type de modération on a à faire et permettre au modérateur de se concentrer sur les seuls messages à risques ou dignes d’intérêt pour le client. Grâce à ce processus, on aboutit à 2 catégories de messages : les refusés ou acceptés automatiquement (par exemple : salaud ou bonjour) et de l’autre côté le contenu soumis au traitement humain classé en prioritaire ou non. Le travail du modérateur n’est plus seulement de refuser un message mais le temps libéré lui permet d’analyser sur le fond tous les messages dignes d’intérêt (nous avons d'ailleurs édité un livre blanc à ce sujet). Le modérateur-veilleur, libéré du bruit non pertinent, peut se concentrer sur les tendances des contributions.

 

 

Chaque propriétaire de page est responsable de son contenu et il n’est plus possible de passer à côté de cette question de conscience ou de responsabilité des médias dans un monde hyper-connecté où la maîtrise de l’information est un réel pouvoir, cf. les scandales des élections présidentielles américaines. La modération augmentée permet de prendre en compte le contenu des contributions pour saisir les tendances des réactions utiles pour un CM pour interagir plus rapidement et efficacement avec sa communauté, voire le relayer ; mais aussi pour un journaliste pour aller plus loin sur un sujet, et pour un média pour maîtriser son espace et valoriser sa communauté comme l’a fait le New York Times.

Magali

Bouton renvoyant vers la page LinkedIn d'Atchik


⚠ Mise à jour 12/11/2019 : Les invitations sont de retour ! Le contenu de cet article n'est donc plus d'actualité. On vous en parle ici 😉

Nous suivons l'évolution de près : n'hésitez pas à vous abonner à notre page LinkedIn pour ne rien rater.

 
Vous avez reçu un nombre incalculable d'invitations pour suivre des pages d'entreprise sur LinkedIn ? Ne vous en faites pas, cette fonctionnalité a désormais été mise hors service par la plateforme  ! On vous explique pourquoi.

 

Dites adieu aux invitations de pages sur LinkedIn :

Depuis peu, il n'est désormais plus possible d'envoyer des invitations à ses relations pour suivre sa page d'entreprise. Anciennement, vous pouviez envoyer un nombre sans limites d'invitations individuelles à tout votre réseau pour inviter vos relations à suivre votre page d'entreprise. Nous vous l'avions expliqué dans ce précédent article. Cette fonctionnalité était en effet intéressante pour donner un petit coup de pouce au nombre d'abonnés de votre page, et par conséquent à la notoriété de votre entreprise.

Mais aujourd'hui, l'option a bien été mise hors service. Nous avons contacté LinkedIn, qui nous a confirmé qu'elle a été temporairement désactivée.

Réponse de LinkedIn à notre demande concernant la disparition des invitations de pages d'entreprise

"Bonjour Valentin, merci de nous avoir contactés. Nous cherchons constamment à aider nos membres et les entreprises à communiquer entre eux. Dans cette optique, nous avons lancé un test avec cette nouvelle option appelée "Inviter à suivre", et nous avons découvert que certains de nos membres n'étaient pas satisfaits de cette fonctionnalité. Nous avons temporairement désactivé cette option et nous la remettrons en ligne dès lors que nous l'aurons améliorée. Merci pour votre compréhension et nous vous souhaitons une bonne journée, MH."

Une option tombée dans le piège du spamming :

On l'a beaucoup remarqué, sur Twitter notamment, beaucoup d'internautes se sont plaints de l'apparition de cette nouvelle possibilité de développement, regrettant le nombre d'invitations reçues par jour. En effet, la comparaison avec le "spam" était très proche de la réalité.

Retour au growth hacking authentique :

Ce levier permettait de donner plus de visibilité à une page en grossissant l'audience par le biais de ces invitations. Ne coûtant littéralement rien à une entreprise, cette technique marketing rentrait dans les grandes lignes du growth hacking. Mais il va falloir revenir en arrière et repenser sa stratégie social media. Si vous ne savez pas quelles ficelles tirer pour rendre votre page plus visible sur LinkedIn, pensez à la prospection sociale, un puissant levier de visibilité et de développement !

 

Valentin

La nouvelle vient de tomber. Facebook a annoncé la suppression des "infos sur la page" dans les prochains jours, et plus précisément à partir du 1er août 2019. Que cela va-t-il changer ? Quel sera l'impact sur les pages d'entreprise ? Décryptons ensemble cette information qui va forcément amener les administrateurs de page à revoir la présentation de leur entreprise sur Facebook.

Facebook annonce la fin des "Infos sur la page" à partir du 1er août 2019.

Un faible impact pour les pages

À la suite de cette annonce, nous pouvons désormais préparer nos mouchoirs pour dire adieu aux sections :

  • "Description de l'entreprise",
  • "Histoire",
  • "Missions",
  • "Affiliation",
  • Et surement à d'autres informations dans les mois à venir.

Mais pourquoi Facebook a-t-il décidé de supprimer les présentations d'une entreprise sur une page ? La réponse est simple. Selon Social Media Today, ces informations sont très peu lues par les visiteurs, qui ont plus tendance à se référer aux publications d'une page pour obtenir des détails sur une entreprise, plutôt que d'aller consulter l'onglet "À propos". Aucun souci à se faire quant aux performances de sa page qui ne seront pas affectées par ce changement.

On ressent donc cette envie de la part de Facebook d'inciter les administrateurs de page à aller droit au but pour présenter leur entreprise, et par conséquent d'éviter le surplus d'informations. Même si la description de votre entreprise et son histoire permettent d'embellir votre page, il se peut que les visiteurs sur votre page, et même vos propres fans, n'aient jamais consulté cet onglet.

 

 

Quelle est l'alternative aux "Infos sur la page" ?

Les informations sur votre entreprise ne disparaîtront pas totalement. Elles seront toujours visibles, mais plus résumées, puisque vous n'aurez le droit qu'à 255 caractères maximum pour présenter votre entreprise. Une manière efficace de parler de votre entreprise en quelques phrases pour éviter de perdre vos lecteurs dans une description trop longue.

Pour ce faire, rendez-vous dans les paramètres de votre page, cliquez ensuite sur "Infos sur la page" et complétez le champ "Description". Ce seront les seules informatons de présentation de votre entreprise qui seront visibles à partir du 1er août !

 

Nos recommandations

Pas de panique ! Cette suppression n'est pas si dramatique qu'elle en a l'air. Bien au contraire, elle vous donne l'opportunité de résumer les missions de votre entreprise en un court texte. Pensez donc à la méthode de l'elevator pitch, très souvent utilisée pour convaincre lors d'un discours commercial. Et comme il ne semble pas prévu de toucher aux coordonnées d'une entreprise, il ne devrait pas y avoir d'impact sur le référencement SEO de votre site. Vous pourrez donc toujours bénéficier de liens sortants.

 

Si de nouvelles informations émergent dans les jours ou les semaines à venir, nous vous tiendrons au courant en mettant à jour cet article. Et si ce n'est pas déjà fait, vous pouvez nous suivre sur Facebook, Twitter et LinkedIn pour être tenus informés de l'actualité réseaux sociaux,veille et e-réputation.

Depuis quelques temps, il est possible d'inviter son réseau à aimer sa page d'entreprise sur LinkedIn en envoyant des invitations individuelles à son réseau. Pourquoi est-ce une fonctionnalité intéressante à l'heure de l'innovation dans la publicité en ligne ?

(Dernière édition le 10/09/2021)

Élargir son audience LinkedIn :

Le premier but de cette nouvelle fonctionnalité est avant tout de pouvoir élargir l'audience de votre page. Grâce à ces invitations, un large panel d'invitations s'offre à vous : vos clients, vos prospects, ou même vos anciens camarades de classe peuvent être invités à aimer la page de votre entreprise. C'est un moyen simple, efficace, et non-invasif pour grossir votre communauté. Sans compter que vous ne faites pas appel à la publicité, et que vous envoyez des invitations "ciblées".

 

Développer la notoriété de votre entreprise :

Inviter son réseau à suivre sa page d'entreprise sur LinkedIn permet de donner un coup de pouce à la notoriété et à la visibilité à son entreprise. Cela facilitera aussi le bouche-à-oreille, qui reste une technique marketing authentique et qui ne vous coûte rien. Attention cependant à ne pas inviter n'importe qui ! Il est préférable d'inviter des personnes ciblées, qui seraient intéressées par le contenu que vous postez et qui interagiront avec. Envoyer des invitations seulement pour grossir le nombre d'abonnés sur votre page n'apportera rien sur le long terme, et ne la rendra pas "authentique".

Pour aller plus loin : Veille sur LinkedIn, quelles solutions ?

 

Comment inviter son réseau à aimer sa page LinkedIn :

Pour finir, il suffit de suivre les étapes suivantes :

  • Connectez-vous à un compte administrateur de votre page d'entreprise LinkedIn.
  • Une fois que vous vous trouvez sur la "vue administrateur", cliquez sur "Outils d'administration" sous le bouton "Voir en tant que membre".
  • Un menu déroulant s'affiche, il ne vous reste plus qu'à cliquer sur "Inviter des relations".

Et voilà ! Vous avez envoyé les invitations à votre réseau pour aimer votre page d'entreprise.

 

Depuis mai 2020, LinkedIn attribue 100 crédits d'invitations par mois par page. Si vous envoyez une invitation, vous utilisez donc un crédit... Mais vous le récupérez instantanément si la personne que vous avez invitée accepte votre invitation ! Le réseau social rappelle cependant qu'il n'est pas possible de dépasser la limite quotidienne, et que les crédits non-utilisés ne peuvent pas être cumulés avec ceux du mois suivant.

 

En parlant de ça, nous sommes aussi sur LinkedIn ! N'hésitez pas à nous suivre pour être tenus informés des actualités du secteur digital, des réseaux sociaux, et de la veille en cliquant ici 😉

 

Valentin


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